Le Taal est un volcan de l’archipel des Philippines situé à 60 km de la capitale Manille. Il entre en éruption le 12 janvier 2020 après une période d’inactivité de 47 ans. Ses panaches de cendres montent jusqu’à 15km d’altitude. Le PHIVOLCS indique qu’une activité explosive est possible dans les heures ou les jours à venir. 150 000 habitants sont évacués. En effet, le Taal a un passé meurtrier avec notamment 1335 morts lors de son éruption de 1911. Ce volcan explosif a des retombées de cendres mais ce qui inquiète le plus les scientifiques sont notamment les possibilités qu’une série d’explosions violentes puissent engendrer un tsunami sur le lac Taal. Deux jours après la réduction de la zone d’exclusion à 7km, 80 Jours Voyages était dans le pays.
Le Taal est un volcan de l’archipel des Philippines situé à 60 km de la capitale Manille. Il entre en éruption le 12 janvier 2020 après une période d’inactivité de 47 ans. Ses panaches de cendres montent jusqu’à 15km d’altitude. Le PHIVOLCS indique qu’une activité explosive est possible dans les heures ou les jours à venir. 150 000 habitants sont évacués. En effet, le Taal a un passé meurtrier avec notamment 1335 morts lors de son éruption de 1911. Ce volcan explosif a des retombées de cendres mais ce qui inquiète le plus les scientifiques sont notamment les possibilités qu’une série d’explosions violentes puissent engendrer un tsunami sur le lac Taal. Deux jours après la réduction de la zone d’exclusion à 7km, 80 Jours Voyages était dans le pays.
Le Salvador est le plus petit pays d’Amérique Centrale. Il se situe au sud du Guatemala et du Honduras. Une chaîne volcanique longe la côte parallèle à la fosse océanique, la fameuse ceinture de feu du Pacifique à 200km. La production magmatique volcanique est importante, de 3,1km3 par km de côte pour les 100 000 dernières années. Le Salvador connaît de nombreux séismes souvent meurtriers. Le 13 janvier 2001, le séisme d’une magnitude de 7,9 fit plusieurs milliers de morts.
Le Salvador est le plus petit pays d’Amérique Centrale. Il se situe au sud du Guatemala et du Honduras. Une chaîne volcanique longe la côte parallèle à la fosse océanique, la fameuse ceinture de feu du Pacifique à 200km. La production magmatique volcanique est importante, de 3,1km3 par km de côte pour les 100 000 dernières années. Le Salvador connaît de nombreux séismes souvent meurtriers. Le 13 janvier 2001, le séisme d’une magnitude de 7,9 fit plusieurs milliers de morts.
Le Kazakhstan, situé en Asie centrale, est le 9ème plus grand pays du monde. L’ouest du pays est bordé par la mer Caspienne dont le niveau est à -28m. Dans la dépression karstique de Karakia, cela peut aller jusqu’à -132m.
Le Kazakhstan, situé en Asie centrale, est le 9ème plus grand pays du monde. L’ouest du pays est bordé par la mer Caspienne dont le niveau est à -28m. Dans la dépression karstique de Karakia, cela peut aller jusqu’à -132m.
Yellowstone le super-volcan, a connu plusieurs petites et géantes éruptions et explosions phréatiques sur les derniers millions d’années. N’en déplaise aux Tabloïds friands de catastrophisme, aucune éruption n’a été répertoriée depuis plusieurs milliers d’années et une éruption imminente n’est pas d’actualité. La formation de la caldeira Au cours des 2,1 derniers millions d’années, Yellowstone a connu trois « super-éruptions ». Ces évènements ont permis de former la caldeira d’une taille de 50 x 80 km. Les tremblements de terre Chaque année 1000 à 3000 tremblements de terres sont enregistrés par les sismographes du Parc national de Yellowstone et ses environs. L’immense majorité sont de faible intensité. Hydrologie Le grand réservoir magmatique présent sous le Yellowstone crée un champ de haute température peu profonde. Dans le parc, se trouve près de 300 geysers qui connaissent des éruptions plus ou moins régulières et prévisibles. Yellowstone doit parfois faire face à des explosions de vapeur beaucoup plus violentes arrachant des roches du substratum et modifiant le paysage. Inspiré d’un article de Sylvain Chermette et Jacques-Marie Bardintzeff publié dans L.A.V.E Découvrez nos voyages à Yellowstone
Yellowstone le super-volcan, a connu plusieurs petites et géantes éruptions et explosions phréatiques sur les derniers millions d’années.
N’en déplaise aux Tabloïds friands de catastrophisme, aucune éruption n’a été répertoriée depuis plusieurs milliers d’années et une éruption imminente n’est pas d’actualité.
La formation de la caldeira
Au cours des 2,1 derniers millions d’années, Yellowstone a connu trois « super-éruptions ». Ces évènements ont permis de former la caldeira d’une taille de 50 x 80 km.
Les tremblements de terre
Chaque année 1000 à 3000 tremblements de terres sont enregistrés par les sismographes du Parc national de Yellowstone et ses environs. L’immense majorité sont de faible intensité.
Hydrologie
Le grand réservoir magmatique présent sous le Yellowstone crée un champ de haute température peu profonde.
Dans le parc, se trouve près de 300 geysers qui connaissent des éruptions plus ou moins régulières et prévisibles. Yellowstone doit parfois faire face à des explosions de vapeur beaucoup plus violentes arrachant des roches du substratum et modifiant le paysage.
Inspiré d’un article de Sylvain Chermette et Jacques-Marie Bardintzeff publié dans L.A.V.E
Descente du Cerro Negro en planche au Nicaragua Vous pensiez que surfer sur les volcans était impossible ? Et bien pour vous prouver le contraire, Jacques-Marie Bardintzeff a écrit deux articles sur son blog consacrés à la montée et surtout à la descente très originale de ce volcan lors du voyage Spécial Eruption Express au Nicaragua avec notre agence. Monter sur un volcan Descendre d'un volcan Vidéo du débordement de l'Erta Ale Vous l'attendiez, la voici ! La vidéo du débordement du lac de lave de l'Erta Ale. Vidéo disponible sur notre Facebook. Aimez la page si ce n'est pas encore fait afin de suivre toutes nos infos ! Lien de la vidéo Conférence de Jacques-Marie Bardintzeff ?Jacques-Marie Bardintzeff fera une conférence sur les volcans et autres risques naturels le 24 février à La Roche-Sur-Yon. CENTRE BEAUTOUR Route de Beautour Accès Parc ÉCO 85 85000 La Roche -sur -Yon 02 51 24 32 40 contact@beautour-paysdelaloire.fr Découvrez nos voyages au Nicaragua
Descente du Cerro Negro en planche au Nicaragua
Vous pensiez que surfer sur les volcans était impossible ? Et bien pour vous prouver le contraire, Jacques-Marie Bardintzeff a écrit deux articles sur son blog consacrés à la montée et surtout à la descente très originale de ce volcan lors du voyage Spécial Eruption Express au Nicaragua avec notre agence.
Vous l’attendiez, la voici ! La vidéo du débordement du lac de lave de l’Erta Ale. Vidéo disponible sur notre Facebook. Aimez la page si ce n’est pas encore fait afin de suivre toutes nos infos !
Conférence de Jacques-Marie Bardintzeff
?Jacques-Marie Bardintzeff fera une conférence sur les volcans et autres risques naturels le 24 février à La Roche-Sur-Yon.
CENTRE BEAUTOUR Route de Beautour
Accès Parc ÉCO 85
85000 La Roche -sur -Yon
Le journal scientifique "Sciences et Avenir" se pose ce mois-ci une question simple : que ressentirait-on en cas d'éruption volcanique "mondiale" ? Au départ, l'éruption de Santorin, en l'an 1650 avant notre ère, qui a pu inspirer le mythe des 10 plaies d'Egypte, de l'Atlantide ou encore du Déluge, mais dont on ne sait presque rien. Pour tenter d'imaginer les répercussions d'une telle éruption sur l'ensemble de la planète, il est nécessaire de se tourner vers l'éruption du mont Tambora, en Indonésie, en 1815. Cette éruption est en effet beaucoup plus documentée que celle de Santorin, et d'ampleur similaire : une puissance de 1 000 mégatonnes, une onde de choc qui fait s'affaisser le volcan sur lui-même et s'échapper une colonne de cendres de 40 km de haut ! Outre les dégâts considérables et les victimes directes et indirectes, l'explosion a des conséquences sur la météo, puisque l'année 1816 sera surnommée "l'année sans été". Les récoltes sont mauvaises, et les cas de famine nombreux. Il est également intéressant de constater que les peintres se sont fait les témoins de ces éruptions. Les tableaux de Turner par exemple montrent des couchers de soleil rouge-orangé caractéristique d'une atmosphère chargée de particules en suspension. Retrouvez l'intégralité de l'article ICI. Photo : Eruption du Merapi, île de Java, Indonésie Découvrez nos voyages
Le journal scientifique « Sciences et Avenir » se pose ce mois-ci une question simple : que ressentirait-on en cas d’éruption volcanique « mondiale » ?
On ne compte plus les articles et études qui paraissent sur la fonte des glaces, toutes plus catastrophiques les unes que les autres. C'est le journal Sciences et Avenir que relaie la dernière étude menée par des chercheurs allemands. Ceux-ci ont mesuré la quantité de glace fondue aux deux pôles, sur une période de 3 ans (2011-2014), en utilisant les données collectées par le satellite d'observation Cryosat-2. Les résultats font apparaître un accroissement de la vitesse de la fonte des glaces, aussi bien au Groenland qu'au pôle sud : au nord, la glace disparaît 2,5 fois plus vite qu'entre 2003 et 2009 tandis qu'au sud, elle fond 3 fois plus rapidement, et ce malgré l'accroissement de la couche de glace dans l'est du continent, dans la région de Dronning Maud. Retrouvez tous nos voyages polaires.
On ne compte plus les articles et études qui paraissent sur la fonte des glaces, toutes plus catastrophiques les unes que les autres. C’est le journal Sciences et Avenir que relaie la dernière étude menée par des chercheurs allemands.
On compte désormais quatre espèces de dauphins à bosses, avec l'apparition du dauphin à bosses d'Australie, qui rejoint le dauphin à bosses de l'Atlantique, celui de l'Indo-Pacifique et celui de l'océan Indien. C'est une étude à paraître dans le numéro d'octobre 2014 de Marine Mammal Science dont nous parle le magazine Sciences et Avenir. Cette étude résume plus de deux siècles de travaux sur les dauphins, dont le nombre d'espèces de dauphins à bosses a longtemps été débattu parmi les scientifiques. Cette nouvelle espèce se différencie des autres notamment par son nombre de dents et de vertèbres, mais aussi par la taille moins importante de sa nageoire dorsale. Le dauphin à bosse australien, ou Sousa Sahulensis, doit son nom au plateau continental du Sahul, qui porte l'Australie, la Tasmanie et la Nouvelle-Guinée, ainsi que les terres immergées autour. Sa couleur gris foncé le différencie également de ses cousins. D'après les auteurs de l'étude, il n'y aurait pas plus de quelques milliers de spécimens de ce dauphin. Découvrez nos voyages d'observation des cétacés aux Açores Pour plus d'actualité sur l'Australie
On compte désormais quatre espèces de dauphins à bosses, avec l’apparition du dauphin à bosses d’Australie, qui rejoint le dauphin à bosses de l’Atlantique, celui de l’Indo-Pacifique et celui de l’océan Indien.
L'archipel des Açores, au large de Lisbonne, en plein cœur de l'océan Atlantique, est une destination encore peu connue et peu visitée des touristes, malgré ses charmes évidents. C'est ce que vient de découvrir une journaliste du Soir, qui raconte son voyage dans l'édition du 26 février. São Miguel, Terceira, Faial et Pico sont les quatre îles visitées par cette journaliste, qui découvre jour après jour toutes les merveilles de cet archipel. La spécialité de São Miguel, le fameux "cozido", cuit à même la terre grâce à la géothermie, Sete Cidades, les rues de Ponta Delgada, puis la plantation de thé ; la grotte de Terceira, la marina d'Horta, sur l'île de Faial, avec ses fresques de marins, l'inévitable sortie en mer pour observer les cétacés, et la visite de Pico… Mais l'archipel compte en tout 9 îles, chacune offrant quelque chose de différent, mais toutes dans un paysage naturel d'une rare beauté, entre collines verdoyante et océan, caldeiras, vignes et sources chaudes… C'est le moment pour réserver votre voyage aux Açores !
L’archipel des Açores, au large de Lisbonne, en plein cœur de l’océan Atlantique, est une destination encore peu connue et peu visitée des touristes, malgré ses charmes évidents. C’est ce que vient de découvrir une journaliste du Soir, qui raconte son voyage dans l’édition du 26 février.
Deux géologues russes ont essayé de comprendre le fonctionnement des geysers en introduisant une caméra très robuste à l’intérieur des conduits de six d’entre eux dans la célèbre Vallée des Geysers au Kamtchatka. Les vidéos ainsi obtenues, complétées par l’étude des roches autour d’anciens geysers aujourd’hui inactifs, ont révélé que les geysers du Kamtchatka ne sont pas alimentés par l’intermédiaire de conduits longs et étroits, comme on le pensait jusqu’à présent. Au lieu de cela, des pièges à bulles se forment à l’intérieur de l’amas de blocs qui se sont accumulés pendant des glissements de terrain. La caméra spécialement conçue pour ce travail de recherche était capable de résister à l’eau bouillante et aux violentes explosions de vapeur à l’intérieur d’un geyser. Au cours de trois visites dans la Vallée des Geysers, la caméra a doucement été descendue dans les conduits à l’aide d’un câble en acier ou d’une tige souple afin de filmer les éruptions. La vidéo disponible ici n’est pas particulièrement esthétique mais apporte quelques images intéressantes et montre des blocs avec des bulles qui s’élèvent lorsque le geyser est en phase de repos, puis des explosions de vapeur pendant les jaillissements. Peu de temps après que les chercheurs ont commencé leur travail, un important glissement de terrain s’est produit dans la Vallée, de sorte que l’intérieur de certains geysers inactifs est apparu au grand jour, trahissant leur système d’alimentation. Pour qu’un geyser se forme, il faut une source de chaleur d’origine volcanique, une nappe phréatique avec de l’eau en abondance, des espaces dans les roches qui la surmontent pour que l’eau puisse s’échapper, ainsi qu’un système d’emprisonnement des bulles. L’eau bouillante qui s’élève des profondeurs dans un système hydrothermal contient toujours des bulles de vapeur. En s’élevant, cette eau rencontre un piège à bulles où ces dernières
Deux géologues russes ont essayé de comprendre le fonctionnement des geysers en introduisant une caméra très robuste à l’intérieur des conduits de six d’entre eux dans la célèbre Vallée des Geysers au Kamtchatka.
Les vidéos ainsi obtenues, complétées par l’étude des roches autour d’anciens geysers aujourd’hui inactifs, ont révélé que les geysers du Kamtchatka ne sont pas alimentés par l’intermédiaire de conduits longs et étroits, comme on le pensait jusqu’à présent. Au lieu de cela, des pièges à bulles se forment à l’intérieur de l’amas de blocs qui se sont accumulés pendant des glissements de terrain.
La caméra spécialement conçue pour ce travail de recherche était capable de résister à l’eau bouillante et aux violentes explosions de vapeur à l’intérieur d’un geyser. Au cours de trois visites dans la Vallée des Geysers, la caméra a doucement été descendue dans les conduits à l’aide d’un câble en acier ou d’une tige souple afin de filmer les éruptions.
La vidéo disponible ici n’est pas particulièrement esthétique mais apporte quelques images intéressantes et montre des blocs avec des bulles qui s’élèvent lorsque le geyser est en phase de repos, puis des explosions de vapeur pendant les jaillissements.
Peu de temps après que les chercheurs ont commencé leur travail, un important glissement de terrain s’est produit dans la Vallée, de sorte que l’intérieur de certains geysers inactifs est apparu au grand jour, trahissant leur système d’alimentation. Pour qu’un geyser se forme, il faut une source de chaleur d’origine volcanique, une nappe phréatique avec de l’eau en abondance, des espaces dans les roches qui la surmontent pour que l’eau puisse s’échapper, ainsi qu’un système d’emprisonnement des bulles.
L’eau bouillante qui s’élève des profondeurs dans un système hydrothermal contient toujours des bulles de vapeur. En s’élevant, cette eau rencontre un piège à bulles où ces dernières s’accumulent jusqu’au moment où la vapeur trouve assez de force pour déplacer la colonne d’eau qui la surmonte et déclenche l’éruption du geyser.
La vitesse d’accumulation des bulles dans un piège et la géométrie du conduit du geyser affectent le temps qui s’écoule entre les éruptions. Si le piégeage des bulles est lent, le laps de temps entre les jaillissements sera plus long.
Le geyser « Strokur » en Islande présente deux avantages importants par rapport à ceux du Kamtchatka ou de Yellowstone. D’une part, l’Islande n’est qu’à 3h30 d’avion de Paris et d’autre part le geyser jaillit toutes les 5 à 10 min ce qui facilite largement les observations et les photographies !
Peut être que les scientifique russes prêteront leur caméra aux Islandais pour que nous puissions également découvrir l’intérieur du geyser « Strokur », et pourquoi pas de son voisin inactif « Geysir », qui a donné son nom au phénomène géologique !
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