Certains pensaient qu’elle disparaîtrait aussi vite qu’elle était apparue, il n’en est rien ! Niijima, l’île à laquelle le gouvernement japonais a finalement donné un nom, continue sa croissance, et est en train de former une seule grande île avec sa voisine Nishinoshima.

C’était vendredi dernier, dans l’émission « L’heure des rêveurs », de Zoé Varié sur France Inter. Un premier épisode sur l’ Islande, racontée par un de ses plus célèbres écrivains : Jon Kalman Stefansson, auteur du succès en France « Entre ciel et terre ». L’ Islande racontée par les Islandais, ce qui rend le pays si particulier et si attachant, traduit par Eric Boury. La semaine prochaine, Zoé Varié ira à Vik, passage incontournable pour les touristes, avec ses aiguilles et sa plage de sable noir, mais bourgade menacée par le volcan Katla. Le rapport des islandais avec la nature, leur amour de leur pays, tout cela ressort des témoignages recueillis par la journaliste, et donne un voyage sonore aussi surprenant qu’apaisant.

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« L’heure des rêveurs », sur France Inter, Vendredi 27 décembre 2013 et 3 janvier 2014 – Ecouter le podcast

Il vous reste encore quelques jours pour boucler votre liste de cadeaux pour les fêtes de fin d’année… Voici quelques idées de dernière minute !

Réalisé par Guillaume Vincent, raconté par Marion Cotillard

Terre des Ours va faire vivre aux spectateurs une expérience unique, une plongée, une immersion sur un territoire de l’Extrême-Orient Russe, le Kamchatka, et les entraîner dans un grand voyage en Terre des Ours.

Une récente étude conduite par le Dr Mara Milrooney, anthropologue au Bishop Museum à Honolulu (Hawaï), vient bousculer la théorie selon laquelle les habitants de l’île de Pâques se seraient « auto détruits » avant la première visite des européens en 1722.

L’île apparue au large du Japon en novembre dernier nous donne l’occasion de revenir sur ce type de phénomènes, nommés éruptions surtseyennes depuis l’apparition de l’île de Surtsey, au large de l’Islande, en 1963.

Ce type d’éruption est caractéristique de l’interaction entre du magma brûlant et une grande quantité d’eau de mer ou d’un lac. Cependant pour qu’un tel phénomène puisse se produire il faut une faible profondeur d’eau, car une trop grande épaisseur étoufferait, sous une pression bien trop forte, toute tentative d’explosion. Une éruption sursteyenne se divise en trois phases : une sous-marine, une hydromagmatique, et une aérienne. Lors de la phase sous-marine, la lave s’échappe par une fissure au fond de l’océan. Au début, la pression de l’eau empêche toute activité explosive, et le volcan sous-marin grandit, s’approchant de plus en plus de la surface. La quantité d’eau faisant pression sur le volcan diminue, et lorsque la pression de l’eau est trop faible, la lave se fragmente sous le choc thermique. On voit alors apparaître un panache au-dessus de la surface, panache composé majoritairement de vapeur d’eau mais aussi de cendres volcaniques. Le volcan continue à grandir, et peu à peu à émerger, jusqu’à ce que la cheminée volcanique débouche au-dessus du niveau de l’eau. On entre dans la phase aérienne, pendant laquelle le rôle de l’eau diminue, et l’éruption continue suivant le type de lave émis par le volcan.

Un schéma de ce type d’éruption en résume les différentes phases.

Ce type d’explosion a également été observé au large de Faial, dans l’archipel des Açores. C’est ainsi qu’est né le volcan de Capelinhos, à l’ouest de l’île, en 1957, soit avant l’île de Surstey.

Photo : Capelinhos, sur l’île de Faial, archipel des açores

La vidéo d’aurore boréale, fabriquée à partir de clichés de 3 secondes chacun, pris à travers le hublot d’un avion, montre une aurore boréale dansant dans le ciel arctique. C’est au cours d’un vol Londres-New York que le photographe Paul Williams, déjà auteur de plusieurs timelapses d’aurores, a assisté au spectacle.

Le supervolcan situé sous le parc du Yellowstone aux Etats-Unis serait beaucoup plus grand que ce que l’on pensait jusqu’alors. Une étude scientifique rapporte en effet que la chambre magmatique serait 2,5 fois plus grande que prévu ! Les dernières données ont été annoncées lors de la rencontre annuelle de la société américaine de géologie.

C’est une petite vidéo d’à peine plus de 3 minutes qui nous convainc de l’importance du requin dans l’écosystème. Pas besoin de long discours, une simple démonstration suffit. Le requin, en tant que prédateur situé au sommet de la chaîne alimentaire des océans, joue son rôle de régulateur. Il se nourrit de proies variées et influe sur leur nombre. Si on supprime les requins, ou simplement si on en diminue significativement le nombre, ses proies vont devenir plus nombreuses, et donc se nourrir en plus grande quantité : les espèces situées en-dessous d’elle dans la chaîne alimentaire vont alors diminuer drastiquement. C’est un effet en cascade, un déséquilibre dû à l’acharnement contre les requins.

Nicolas Dubreuil, explorateur photographe, vient de publier « Kullorsuaq, un village aux confins du Groenland« , dans lequel il raconte le quotidien de la vie en Arctique, dans un des villages les plus septentrionaux du monde, un des plus difficiles d’accès du Groenland.