C’est l’association Longitude 181 Nature, créée par François Sarano et Vincent Ohl, qui lance un grand projet d’étude et d’observation du grand requin blanc de Méditerranée. Car ce mythique animal n’a jamais été étudié, ni filmé dans cette partie du globe. Le projet est axé autour de trois points forts : rapporter les premières images sous-marines du grand requin blanc de Méditerranée, recueillir les premières données scientifiques de terrain, et mettre en place un programme de préservation concret avec les pêcheurs tunisiens.

En mars dernier, suite à la décision de la Cour Internationale de Justice à Tokyo, le Japon avait déclaré accepter d’interrompre sa campagne de chasse à la baleine en Antarctique. La CIJ de La Haye avait en effet estimé que le pays déguisait une chasse commerciale en campagne d’études scientifique et donc demandé au gouvernement japonais de cesser cette activité.

C’est en Colombie britannique, au Canada, que vit cet ours dont certains individus présentent un pelage blanc. Appelé « spirit bear » ou « ours de Kermode », du nom du premier scientifique à l’avoir étudié, il se distingue de l’ours polaire ; la blancheur de son pelage vient en fait de la présence d’un gène récessif dans le génotype de certains individus. L’ours de Kermode est une sous-espèce de l’ours américain (ursus americanus, quand l’ours polaire est ursus maritimus). Le nom de « spirit bear », quant à lui, a été donné par les Indiens, chez qui il occupe une place importante dans le folklore.

Malgré les difficultés à prévoir une éruption volcanique avec précision, on trouve toujours quelque part un article faisant part de la possibilité d’une explosion prochaine, le sens de prochain pouvant aller de « dans les prochains jours » à « dans les prochaines années ». La plupart des édifices volcaniques sont étroitement surveillés par les scientifiques, du moins dans les pays qui en ont les moyens. En Islande, terre de volcans, les monts Hekla, Askja, Grimsvótn, Eyjafjallajokull, pour ne citer qu’eux, font l’objet d’une attention particulière et constante. On parle moins souvent de l’Herðubreið, situé dans les hautes terres islandaises, dans le centre est du pays.

Au Canada, les baleines à bosses (appelées « rorquals à bosses »), viennent de passer de la catégorie « espèce menacée » à « espèce préoccupante ». La nouvelle crée une polémique, les écologistes accusant le gouvernement d’avoir accepté cette déclassification afin de mener à bien un projet de construction d’oléoduc déjà fortement controversé. Car en devenant une espèce seulement « préoccupante », la baleine à bosse voit son habitat perdre la protection qu’il avait en tant qu’espèce menacée.

La petite île de Batu Tara, dans la mer de Florès, au cœur de l’archipel d’INDONÉSIE, montre ces derniers jours une activité volcanique. Des images satellites révèlent en effet une série de panaches de cendres s’élevant du volcan Batu Tara. Le Darwin VAAC rapporte que le panache aurait atteint une altitude de 3km le 28 avril. Le panache s’étendait à 37 km vers le nord. Le code d’aviation serait passé à « orange ». Par la suite, le panache de cendres, caché par un nuage, n’a plus pu être observé par les satellites. La dernière activité du Batu Tara avait été rapportée le 2 avril, mais datait du 26 mars : « D’après des analyse d’images satellites et des conditions du vent, le Darwin VAAC a annoncé que le 26 mars, un panache de cendres émis par le Batu Tara s’était propagé de presque 30 km vers l’ouest. »

Le Jakarta Post a fait part d’une nouvelle activité du célèbre volcan indonésien Merapi, sur l’île de Java. Le 20 Avril dernier, une explosion aurait entraîné des retombées de cendres dans un rayon de 15 km sur les versants sud-est, sud et sud-ouest du volcan. Comme souvent dans ces cas-là, l’explosion est provoquée par une activité sismique : des secousses ont en effet été enregistrées pendant 20 minutes à 4h21 du matin. Le volcan n’a cependant pas expulsé de lave, aucune coulée n’ayant été observée, mais seulement des gaz, et principalement du CO2.

Le documentaire américain Blackfish, dont nous avions parlé l’année dernière, n’est pas passé inaperçu aux Etats-Unis. S’il a touché de nombreux spectateurs, qui se sont mobilisés de différentes manières pour obliger les parcs aquatiques à changer de comportement, il a également incité Richard Bloom, élu démocrate de Californie, à présenter une proposition de loi dite « de bien-être et de sécurité de l’orque ». Le texte marque une étape importante dans la relation de l’homme avec les animaux : il vise en effet à interdire la captivité des orques à but divertissant, ainsi que la pêche des animaux sauvages et leur reproduction en captivité.

L´art culinaire bolivien est à l´image du pays : une multitude de produits et des préparations qui varient énormément d’une région à une autre.

Bien que la cuisine de BOLIVIE a su intégrer dans ses goûts les différentes étapes de son histoire et ses  profondes racines indiennes, espagnoles et maures, elle n´a pas encore réussi à dépasser ses frontières  comme l’ont fait ses illustres voisins argentins, péruviens ou brésiliens. Avec une gastronomie en pleine ébullition et la parfaite intégration des produits nationaux, souvent millénaires, à la cuisine moderne, l’année 2014 marquera la fin de cet anonymat !

Le développement économique participe aussi à cet élan gastronomique : chaque jour des villes  comme La Paz et Sucre,  voient de nouveaux restaurants ouvrir  leurs portes et que ce soit pour la  cuisine nationale ou internationale, le nombre de convives à les fréquenter ne cesse d’augmenter.

Claus Meyer, co-chef  du Noma à Copenhague, élu meilleur restaurant du Monde en 2010, 2011 et 2012,  a aussi décidé de poser ses bagages et ses outils de  cuisine à La Paz.

Découvrez cette nouvelle cuisine marquée par les contrastes lors de votre passage à La Paz au cours de votre séjour sur l’Altiplano ! Un programme pouvant se faire en extension d’un voyage au Chili qui vous permettra de compléter votre découverte gustative de la nouvelle cuisine sud-américaine.

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Le site anglophone Iceland Review nous informe qu’une webcam a été installée sur le sommet du volcan Grímsvötn, en direction de la caldeira. La caméra envoie une image toutes les 10 minutes, de sorte que les géophysiciens puissent analyser en direct les données indiquant une activité volcanique ou une inondation sub-glaciaire.

Après l’Eyjafjallajökull en 2010, le Grímsvötn avait explosé en 2011, sans pour autant faire la une des medias internationaux : ses cendres n’avaient en effet eu quasiment aucun impact sur le trafic aérien ! L’éruption, qui avait eu lieu du 21 au 28 mai, était pourtant la plus puissante depuis 100 ans. Situé sous la calotte glaciaire du Vatnajökull (le plus grand glacier islandais), le Grímsvötn est un des volcans les plus actifs d’Islande, avec environ une explosion tous les 10 ans au cours du XXème siècle. L’éruption la plus célèbre date de 1996 ;  elle avait entraîné d’importants dégâts sur la route n°1, notamment la destruction de la route en question, et marque pour les géologues l’entrée dans une phase d’éruptions plus intenses.

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