Il semble que l'activité volcanique en cours depuis maintenant 3 mois dans le secteur de l'Holuhraun, en Islande, perde en intensité. Les scientifiques ont en effet déclaré qu'il n'y avait pas eu de changement significatif depuis plusieurs semaines et que tout porte désormais à croire que la lave s'écoule à l'intérieur de canaux fermés. Les données collectées de puis le début de l'activité sismique dans le Bárðarbunga montrent un déclin constant de la force et du nombre de tremblements de terre de forte magnitude. Malgré ce ralentissement, l'activité sismique sur le site reste forte : de nombreux séismes de magnitude supérieure à 4 sont régulièrement détectés par les sismographes. Les mesures GPS relevées près de la partie nord du glacier Vatnajökull montrent un affaissement lent et constant vers le Bárðarbunga, dont la vitesse diminue lentement. La communication avec la station GPS de la caldera du Bárðarbunga n'a pas encore été établie, et étant donnée la météo actuelle, il est peu probable que les scientifiques puissent se rendre sur les lieux dans les prochains jours. La communication sera établie dès que possible. Découvrez notre gamme de séjours en Islande. Accueil 80 Jours Voyages Retour aux actualités
Il semble que l’activité volcanique en cours depuis maintenant 3 mois dans le secteur de l’Holuhraun, en Islande, perde en intensité. Les scientifiques ont en effet déclaré qu’il n’y avait pas eu de changement significatif depuis plusieurs semaines et que tout porte désormais à croire que la lave s’écoule à l’intérieur de canaux fermés.
Il semble qu'il y ait du mouvement du côté de l'île de la Réunion, où l'Observatoire Volcanologique vient de placer le Piton de la Fournaise en vigilance volcanique, après l'avoir déclassé le 1er décembre dernier… Dès le 1er novembre, un regain de l'activité du volcan avait alerté les autorités. Depuis le 3 décembre, on enregistre à nouveau une augmentation de l'activité sismique, avec une fréquence et une intensité plus fortes qu'auparavant. Le Préfet a demandé aux randonneurs de rester sur les sentiers balisés. Le directeur de l'observatoire, Nicolas Villeneuve, reconnaît sans problème ne pas maîtriser la situation. En terme de volcanologie, rien n'est jamais prévisible à 100%, et la seule affirmation possible aujourd'hui concerne l'augmentation de l'activité sismique. Bien qu'une éruption prochaine soit possible, rien ne permet en effet de certifier qu'elle se produira, et encore moins quand. Source : Claude Granpey Découvrez nos voyages
Il semble qu’il y ait du mouvement du côté de l’île de la Réunion, où l’Observatoire Volcanologique vient de placer le Piton de la Fournaise en vigilance volcanique, après l’avoir déclassé le 1er décembre dernier…
Retournement cette semaine dans l'affaire du séimse de l'Aquila, en Italie. Le 6 avril 2009, suite au tremblement de terre qui avait fait plus de 300 victimes, sept scientifiques italiens avaient été condamnés en première instance à 6 ans de prison pour avoir sous-estimé les risques. Ils s'étaient en effet réunis à l'Aquila six jours avant l'événement, mais n'avaient pas alerté la population sur l'ampleur des risques. La décision initiale avait ébranlé la communauté internationale des sismologues. Roger Musson avait déclaré dans la British Geological Survey : "« Les chercheurs vont devenir extrêmement prudents s’ils doivent donner une opinion. » La cour d'appel n'a pas donné d'explications à ce revirement, mais la question qui se pose est - comme toujours - celle de la responsabilité. Dans la chronologie des faits, un sismologue italien aurait conclu à l'imminence d'un séisme de grande ampluer grâce à un système de mesure de gaz émis par les vibrations. Cet avis n'a pas été pris en compte par la Protection Civile, ni par certains des scientifiques acquittés lundi. Chacun renvoie donc la responsabilité sur l'autre. Précisons que seul Bernardo de Bernardinis, ancien sous-directeur de la Protection Civile, reste condamné, mais sa peine a été réduite à deux ans de prison. Pour en savoir plus sur le séisme, découvrez l'article de Futura Sciences Découvrez notre vidéo sur l'éruption de l'Etna en Sicile. https://www.youtube.com/watch?v=EwnN4cWxhFI&t=232s Découvrez nos voyages
Retournement cette semaine dans l’affaire du séimse de l’Aquila, en Italie. Le 6 avril 2009, suite au tremblement de terre qui avait fait plus de 300 victimes, sept scientifiques italiens avaient été condamnés en première instance à 6 ans de prison pour avoir sous-estimé les risques. Ils s’étaient en effet réunis à l’Aquila six jours avant l’événement, mais n’avaient pas alerté la population sur l’ampleur des risques.
L'éruption du mont Ontake, samedi 29 septembre peu avant midi, nous prouve une fois de plus que malgré les progrès de la science et la surveillance constante des volcans, rien ne permet de prédire à coup sûr une éruption volcanique. La preuve la plus flagrante en est que le jour de l'éruption, aucun signe, même le plus minime, n'a poussé les autorités à envisager un quelconque événement : le mont Ontake était classé au niveau 1, soit le plus bas sur l'échelle des risques volcaniques. Le journal Le Monde rapporte que le président de la commission de prédiction de l'activité volcanique a déclaré : "Ce qui s'est passé samedi a dépassé nos moyens actuels d'anticipation." Au moment de l'éruption, environ 300 randonneurs gravissaient le volcan, site sacré du culte shinto mais également destination populaire pour les randonneurs. D'après Setsuya Nakada, sismologue de l'université de Tokyo, on est face à une éruption hydrovolcanique, qui a lieu lorsque le magma rencontre les eaux souterraines ; ces éruptions sont particulièrement soudaines et explosives, et les conditions pour qu'elles arrivent extrêmement difficile à déceler. Rien d'étonnant, donc, à ce que les autorités n'aient rien vu venir. Il y a bien eu, il y a une dizaine de jours, une série de microséismes dans la zone du mont Ontake, détectés par l'agence de météorologie. Le lien avec l'éruption reste cependant bien difficile à établir. La dernière éruption du mont Ontake remonte à 1979, date à laquelle il était considéré comme éteint. En 2007, le volcan avait provoqué une série de séismes. Pendant ce temps, en Islande, les scientifiques continuent jour après jour d'observer l'éruption de l'Holuhraun, mais les seules certitudes concernent les faits objectifs. Différents scénarios sont établis chaque jour, sans que l'on sache lequel se réalisera, ni même si l'un d'entre eux se réalisera
L’éruption du mont Ontake, samedi 29 septembre peu avant midi, nous prouve une fois de plus que malgré les progrès de la science et la surveillance constante des volcans, rien ne permet de prédire à coup sûr une éruption volcanique.
Un nouveau volcan islandais au nom plus prononçable que l'Eyjafjallajökull a fait parler de lui ces dernières semaines dans l'Holuhraun : le Barðarbunga. Retour sur les moments forts de l'éruption. 16 août : les premiers signes d'une éventuelle éruption sont donnés par la forte augmentation de l'activité sismique dans le secteur nord du glacier Vatnajökull, le plus grand glacier d'Islande. Pendant plusieurs jours, le niveau d'alerte change régulièrement de couleur, passant de jaune à rouge pour redescendre à orange. Par mesure de sécurité, les accès aux environs du Barðarbunga sont fermés et les touristes présents dans le secteur évacués. Les scientifiques restent les yeux rivés sur les sismographes, certains envisageant la possibilité d'une éruption sous-glaciaire. De leur côté, les médias internationaux imaginent tout de suite un scénario catastrophe, identique à celui de 2010, avec l'émission d'un nuage de cendres et l'interruption du trafic aérien. La sismicité montre rapidement que l’intrusion magmatique se poursuit en direction du nord pour former un dyke d'une longueur estimée à plus de 35 kilomètres. Ce n'est qu'une fois en dehors du glacier que la magma, ayant sans doute trouvé un obstacle lors de sa progression souterraine, va trouver le chemin de la sortie ! 29 août, vers 01h00 du matin : 13 jours après le début de l'augmentation de l'activité sismique, une éruption fissurale commence entre le glacier Dyngjujokull et la caldeira de l'Askja dans le champ de lave de l'Holuhraun. Le niveau d'alerte passe à rouge, pour être rabaissé à orange en fin de journée : l'éruption est mineure et si les accès restent fermés, une émission de cendres est peu probable. Les premières images de l'éruption sont rapidement publiées sur les sites internet. 31 août, vers 05h00 du matin : c'est le début d'un nouvel épisode éruptif, d'une intensité plus importante que le
Un nouveau volcan islandais au nom plus prononçable que l’Eyjafjallajökull a fait parler de lui ces dernières semaines dans l’Holuhraun : le Barðarbunga. Retour sur les moments forts de l’éruption.
16 août : les premiers signes d’une éventuelle éruption sont donnés par la forte augmentation de l’activité sismique dans le secteur nord du glacier Vatnajökull, le plus grand glacier d’Islande. Pendant plusieurs jours, le niveau d’alerte change régulièrement de couleur, passant de jaune à rouge pour redescendre à orange. Par mesure de sécurité, les accès aux environs du Barðarbunga sont fermés et les touristes présents dans le secteur évacués. Les scientifiques restent les yeux rivés sur les sismographes, certains envisageant la possibilité d’une éruption sous-glaciaire. De leur côté, les médias internationaux imaginent tout de suite un scénario catastrophe, identique à celui de 2010, avec l’émission d’un nuage de cendres et l’interruption du trafic aérien.
La sismicité montre rapidement que l’intrusion magmatique se poursuit en direction du nord pour former un dyke d’une longueur estimée à plus de 35 kilomètres. Ce n’est qu’une fois en dehors du glacier que la magma, ayant sans doute trouvé un obstacle lors de sa progression souterraine, va trouver le chemin de la sortie !
29 août, vers 01h00 du matin : 13 jours après le début de l’augmentation de l’activité sismique, une éruption fissurale commence entre le glacier Dyngjujokull et la caldeira de l’Askja dans le champ de lave de l’Holuhraun. Le niveau d’alerte passe à rouge, pour être rabaissé à orange en fin de journée : l’éruption est mineure et si les accès restent fermés, une émission de cendres est peu probable. Les premières images de l’éruption sont rapidement publiées sur les sites internet.
31 août, vers 05h00 du matin : c’est le début d’un nouvel épisode éruptif, d’une intensité plus importante que le premier. L’activité sismique varie chaque jour dans la région, toujours surveillée d’aussi près. Seuls les scientifiques et les journalistes sont autorisés à se rendre sur le lieu de l’éruption depuis le début de l’activité. Tous les scénarios possibles sont envisagés, mais il reste toujours aussi difficile de prévoir avec certitude la suite des événements. La crainte majeure est celle d’une inondation de la rivière Jokulsá á Fjöllum.
3 septembre : les scientifiques et journalistes doivent regagner leur camp de base à Dregakil. Par mesure de sécurité, l’accès au site de l’éruption leur est interdit pendant 24h.
8 septembre : la lave atteint la rivière Jokulsá á Fjöllum et la recouvre en partie.
L'éruption continue ces derniers jours dans l'Holuhraun, et son intensité varie au fil du temps. Ainsi le 1er septembre, on annonçait une baisse de l'intensité par rapport à la veille, tout en reconnaissant une activité encore puissante. Les fontaines de lave ont atteint des hauteurs de 30 à 50m. Le 2 septembre, l'activité sismique semblait avoir encore diminué mais cette nuit, aux alentours de 3h du matin le 3 septembre, un séisme de magnitude 5,5 a heurté le Bárðabunga, l'un des plus forts depuis le début de l'éruption. Trois autre séismes d'une magnitude supérieure à 4 ont eu lieu hier ; en tout, ce sont environ 500 tremblements de terre qui ont secoué le secteur hier, indiquant une nouvelle hausse de l'activité. Il est donc toujours aussi difficile de prévoir la suite des événements. A ce jour le secteur reste toujours fermé et il n'est pas possible d'accéder au lieu de l'éruption pour en admirer le spectacle. Mais une nouvelle vidéo, visible ICI, permet de se faire une idée de la situation. Découvrez nos voyages en Islande.
L’éruption continue ces derniers jours dans l’Holuhraun, et son intensité varie au fil du temps. Ainsi le 1er septembre, on annonçait une baisse de l’intensité par rapport à la veille, tout en reconnaissant une activité encore puissante. Les fontaines de lave ont atteint des hauteurs de 30 à 50m. Le 2 septembre, l’activité sismique semblait avoir encore diminué mais cette nuit, aux alentours de 3h du matin le 3 septembre, un séisme de magnitude 5,5 a heurté le Bárðabunga, l’un des plus forts depuis le début de l’éruption. Trois autre séismes d’une magnitude supérieure à 4 ont eu lieu hier ; en tout, ce sont environ 500 tremblements de terre qui ont secoué le secteur hier, indiquant une nouvelle hausse de l’activité.
Il est donc toujours aussi difficile de prévoir la suite des événements. A ce jour le secteur reste toujours fermé et il n’est pas possible d’accéder au lieu de l’éruption pour en admirer le spectacle. Mais une nouvelle vidéo, visible ICI, permet de se faire une idée de la situation.
Hier soir, le site Iceland Review publiait un article expliquant qu'une éruption du Bàrðarbunga était toujours possible, l'activité sismique ne montrant aucun signe de ralentissement. Les scientifiques du Met Office islandais et de l'Université d'Islande, Institut des sciences de la terre envisagent à ce jour trois scénarios. -L'écoulement du magma pourrait s'arrêter, suite à une réduction progressive de l'activité sismique. -Le dike pourrait atteindre la surface de la croûte terrestre et créer une éruption. Dans ce scénario, il est fort probable que l'éruption aurait lieu à l'extrémité nord du dike. Cela produirait probablement une éruption de lave effusive avec une activité explosive et une production de cendres réduites. -Une autre possibilité serait que le dike atteigne la surface à un endroit où une majeure partie, voire la totalité de la fissure, soit sous le glacier. Cela produirait probablement une inondation de la rivière Jökulsá á Fjöllum et éventuellement une activité explosive, avec émission de cendres. D'autres scénarios sont possibles et aucun ne peut être exclu. Par exemple, une éruption dans la caldera du Bàrðarbunga est possible mais très peu probable. Un peu moins de 900 tremblements de terre ont été comptés dans la soirée du 26 août, soit un peu moins que la veille à la même heure. Le dike mesure désormais 40 km de long. En cas d'éruption, l'équipe de 80 Jours Voyages organisera un départ le plus rapidement possible pour aller observer le phénomène. N'hésitez-pas à découvrir nos voyages spécial éruption express !
Hier soir, le site Iceland Review publiait un article expliquant qu’une éruption du Bàrðarbunga était toujours possible, l’activité sismique ne montrant aucun signe de ralentissement. Les scientifiques du Met Office islandais et de l’Université d’Islande, Institut des sciences de la terre envisagent à ce jour trois scénarios.
L'alerte rouge (urgence) est passée à orange (danger) dans le secteur du volcan islandais Bárðarbunga. Les dernières analyses ont montré qu'il n'y avait pas d'éruption sous le glacier Dyngjujökull. La journaliste de la RUV Lára Ómarsdóttir a volé au-dessus du glacier hier matin dimanche 24 août et a pu constater qu'il n'y avait aucun signe d'activité sismique autour du volcan. Elle a déclaré que le niveau de la rivière Jökulsá á Fjöllum, susceptible de déborder en cas d'éruption, semblait normal. Kristín Jónsdóttir, du MET Office islandais, a déclaré à la RUV que les scientifiques tentaient de comprendre ce que l'activité sismique, qui a d'abord été interprétée comme un début d'éruption, signifiait. Les données étant similaires à celles de précédentes éruptions, les scientifiques ont conclu qu'une nouvelle éruption était en cours. Le volcan semble en tout cas être surveillé de très près et les médias internationaux à l'affût de la moindre activité. Pour l'instant, seul un vol de la compagnie Air Berlin, qui devait atterrir à l'aéroport de Keflavik dans la nuit de samedi à dimanche a été annulé. La direction de la compagnie aérienne a déclaré ne pas vouloir prendre le risque que l'avion reste bloqué en Islande. Rappelons tout de même qu'une activité sismique ne suffit pas à déclencher une éruption volcanique, qui reste toujours aussi difficile à anticiper. Nul doute que le fort intérêt des médias est dû à l'éruption de l'Eyjafjallajökull, dont le nuage de cendres avait bloqué le trafic aérien en 2010. Il n'est pas rare qu'une éruption soit annoncée en Islande, mais il est beaucoup plus rare que l'alerte soit relayée dans les médias internationaux : elle ne l'est que lorsque l'éruption est soupçonnée de bloquer le trafic aérien. Source : Iceland Review Découvrez nos voyages en Islande.
L’alerte rouge (urgence) est passée à orange (danger) dans le secteur du volcan islandais Bárðarbunga. Les dernières analyses ont montré qu’il n’y avait pas d’éruption sous le glacier Dyngjujökull.
Les réactions de la presse et des bloggeurs ne se sont pas fait attendre, suite au tremblement de terre de magnitude 4,8 ressenti le 30 mars dernier dans le Parc National du Yellowstone. Certains articles alarmistes et anxiogènes ont prédit l'éruption imminente du super volcan, explosion dont les conséquences seraient catastrophiques… les Etats-Unis seraient en effet tout simplement rayés de la carte, et le nuages de cendres entraînerait une importante chute des températures dans le reste du monde… mais qu'en est-il réellement ? Pouvons-nous vraiment prédire une telle catastrophe ? Quels en seraient les signes annonciateurs, savons-nous les interpréter ? L'événement qui a mis la puce à l'oreille des bloggeurs, c'est que suite à ce fameux séisme, les bisons peuplant le parc du Yellowstone auraient fui leur habitat, et ont été aperçus sur les routes par différentes personnes. Immédiatement, l'instinct de l'animal s'échappant a été interprété comme la preuve d'une activité volcanique imminente, ou tout d'un moins comme une alerte sérieuse à prendre en compte. Découvert dans les années 60, le super volcan du Yellowstone est un caldeira d'au moins 45 km de large sur 85 km de long. Une caldeira résulte de l'effondrement d'un volcan sur sa chambre magmatique suite à une explosion extrêmement violente. D'après les scientifiques, la caldeira de Yellowstone se serait formée suite à 3 éruptions majeures, il y a plus de 2 millions d'années, 1,3 millions d'années et 640 000 ans. Depuis, la caldeira est considérée comme endormie, malgré une faible éruption il y a 70 000 ans. Mais l'endroit reste néanmoins très surveillé, car la zone reste active : les nombreux geysers et manifestations géothermiques l'attestent. Si la plupart des scientifiques pensent que le super volcan se réveillera à nouveau un jour ou l'autre, ils n'interprètent pas le séisme du 30 mars dernier comme
Les réactions de la presse et des bloggeurs ne se sont pas fait attendre, suite au tremblement de terre de magnitude 4,8 ressenti le 30 mars dernier dans le Parc National du Yellowstone. Certains articles alarmistes et anxiogènes ont prédit l’éruption imminente du super volcan, explosion dont les conséquences seraient catastrophiques… les Etats-Unis seraient en effet tout simplement rayés de la carte, et le nuages de cendres entraînerait une importante chute des températures dans le reste du monde… mais qu’en est-il réellement ? Pouvons-nous vraiment prédire une telle catastrophe ? Quels en seraient les signes annonciateurs, savons-nous les interpréter ?
Le célèbre volcan indonésien Merapi, sur l'île de Java, se serait manifesté lundi matin, peu avant 7h. Le nuage de cendres s'est propagé jusqu'à 7 km du cratère. De nombreux villages du centre de Java, ainsi que la ville de Yogyakarta, ont été touchés par la pluie de cendres. On peut lire sur le blog de Claude Granpey que l'éruption a pu être provoquée par un séisme tectonique de magnitude 5,4, enregistré dimanche soir à 115 km au sud-est du district de Malang. Les volcanologues locaux rappellent cependant que ce genre de manifestation est régulière depuis le réveil du Merapi en 2010. Selon eux, il ne faut pas s'inquiéter d'une augmentation de l'activité volcanique. Découvrez nos voyages en Indonésie
Le célèbre volcan indonésien Merapi, sur l’île de Java, se serait manifesté lundi matin, peu avant 7h. Le nuage de cendres s’est propagé jusqu’à 7 km du cratère. De nombreux villages du centre de Java, ainsi que la ville de Yogyakarta, ont été touchés par la pluie de cendres.
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