Le voyage « spécial éruption » du Fogo (Cap Vert) accompagné par le volcanologue Jacques-Marie Bardintzeff et par Sylvain Chermette (8O JOURS VOYAGES) au début de l’année 2015 nous donne l’occasion de rapporter des images de la plus active des îles de l’archipel du Cap-Vert et de revenir sur l’éruption qui a marqué la fin de l’année 2014 et le début 2015. Lors de notre séjour du 11 au 18 Janvier 2015, les valeurs des émissions de gaz étaient estimées à 1000-1500 T/j. L’éruption était encore bien active et le volcan était entré dans une phase plus explosive. Il projetait par intermittence de lourds nuages de cendres jusqu'à 2 km de hauteur. Des bombes incandescentes étaient visibles, en particulier les 13 et 16 janvier. Et une petite vidéo : Découvrez nos voyages au Cap Vert
Le voyage « spécial éruption » du Fogo (Cap Vert) accompagné par le volcanologue Jacques-Marie Bardintzeff et par Sylvain Chermette (8O JOURS VOYAGES) au début de l’année 2015 nous donne l’occasion de rapporter des images de la plus active des îles de l’archipel du Cap-Vert et de revenir sur l’éruption qui a marqué la fin de l’année 2014 et le début 2015.
Lors de notre séjour du 11 au 18 Janvier 2015, les valeurs des émissions de gaz étaient estimées à 1000-1500 T/j. L’éruption était encore bien active et le volcan était entré dans une phase plus explosive. Il projetait par intermittence de lourds nuages de cendres jusqu’à 2 km de hauteur. Des bombes incandescentes étaient visibles, en particulier les 13 et 16 janvier.
Le voyage d’observation des aurores boréales que nous réalisons chaque année au milieu du désert islandais de Kjölur a fait cette année l'objet d'un reportage par le journaliste Marc-Antoine Haffreingue. Le site de Hveravellir a été choisi pour sa situation idéale pour observer les aurores boréales. En effet, sa position isolée en plein cœur du désert donne une visibilité à 360° sans pollution lumineuse avec les glaciers en arrière plan ! Hveravellir est également une importante zone géothermique. A proximité du refuge, un champ de solfatares et de sources chaudes de couleurs très variées offre un paysage surnaturel. Reportage de 11 min : Bande-annonce de 2 min : Découvrez nos voyages en Islande
Le voyage d’observation des aurores boréales que nous réalisons chaque année au milieu du désert islandais de Kjölur a fait cette année l’objet d’un reportage par le journaliste Marc-Antoine Haffreingue. Le site de Hveravellir a été choisi pour sa situation idéale pour observer les aurores boréales. En effet, sa position isolée en plein cœur du désert donne une visibilité à 360° sans pollution lumineuse avec les glaciers en arrière plan !
Hveravellir est également une importante zone géothermique. A proximité du refuge, un champ de solfatares et de sources chaudes de couleurs très variées offre un paysage surnaturel.
Le journal scientifique "Sciences et Avenir" se pose ce mois-ci une question simple : que ressentirait-on en cas d'éruption volcanique "mondiale" ? Au départ, l'éruption de Santorin, en l'an 1650 avant notre ère, qui a pu inspirer le mythe des 10 plaies d'Egypte, de l'Atlantide ou encore du Déluge, mais dont on ne sait presque rien. Pour tenter d'imaginer les répercussions d'une telle éruption sur l'ensemble de la planète, il est nécessaire de se tourner vers l'éruption du mont Tambora, en Indonésie, en 1815. Cette éruption est en effet beaucoup plus documentée que celle de Santorin, et d'ampleur similaire : une puissance de 1 000 mégatonnes, une onde de choc qui fait s'affaisser le volcan sur lui-même et s'échapper une colonne de cendres de 40 km de haut ! Outre les dégâts considérables et les victimes directes et indirectes, l'explosion a des conséquences sur la météo, puisque l'année 1816 sera surnommée "l'année sans été". Les récoltes sont mauvaises, et les cas de famine nombreux. Il est également intéressant de constater que les peintres se sont fait les témoins de ces éruptions. Les tableaux de Turner par exemple montrent des couchers de soleil rouge-orangé caractéristique d'une atmosphère chargée de particules en suspension. Retrouvez l'intégralité de l'article ICI. Photo : Eruption du Merapi, île de Java, Indonésie Découvrez nos voyages
Le journal scientifique « Sciences et Avenir » se pose ce mois-ci une question simple : que ressentirait-on en cas d’éruption volcanique « mondiale » ?
Il semble que l'activité volcanique en cours depuis maintenant 3 mois dans le secteur de l'Holuhraun, en Islande, perde en intensité. Les scientifiques ont en effet déclaré qu'il n'y avait pas eu de changement significatif depuis plusieurs semaines et que tout porte désormais à croire que la lave s'écoule à l'intérieur de canaux fermés. Les données collectées de puis le début de l'activité sismique dans le Bárðarbunga montrent un déclin constant de la force et du nombre de tremblements de terre de forte magnitude. Malgré ce ralentissement, l'activité sismique sur le site reste forte : de nombreux séismes de magnitude supérieure à 4 sont régulièrement détectés par les sismographes. Les mesures GPS relevées près de la partie nord du glacier Vatnajökull montrent un affaissement lent et constant vers le Bárðarbunga, dont la vitesse diminue lentement. La communication avec la station GPS de la caldera du Bárðarbunga n'a pas encore été établie, et étant donnée la météo actuelle, il est peu probable que les scientifiques puissent se rendre sur les lieux dans les prochains jours. La communication sera établie dès que possible. Découvrez notre gamme de séjours en Islande. Accueil 80 Jours Voyages Retour aux actualités
Il semble que l’activité volcanique en cours depuis maintenant 3 mois dans le secteur de l’Holuhraun, en Islande, perde en intensité. Les scientifiques ont en effet déclaré qu’il n’y avait pas eu de changement significatif depuis plusieurs semaines et que tout porte désormais à croire que la lave s’écoule à l’intérieur de canaux fermés.
Le Mont Aso, situé au sud-ouest du Japon, est entré en éruption mardi 25 novembre. Le lendemain, mercredi 26 novembre, le volcan a commencé à cracher des cendres jusqu'à 1 000 mètres de haut. Le volcan, situé dans la préfecture de Kumamoto, sur l'île de Kyushu, fait partie des 47 volcans sous surveillance sur les 110 volcans actifs que compte le Japon. Jeudi 27 novembre, le volcan était en alerte 2 (sur une échelle de 5), ce qui signifie qu'il est interdit de s'approcher à moins d'un mètre du cratère. L'activité volcanique rend en effet possible et dangereuse la chute de pierres dans ce périmètre. Le trafic aérien est perturbé par l'éruption ; la plupart des vols au départ de l'aéroport de Kumamoto ont dû être annulés. Découvrez nos voyages en Asie
Le Mont Aso, situé au sud-ouest du Japon, est entré en éruption mardi 25 novembre. Le lendemain, mercredi 26 novembre, le volcan a commencé à cracher des cendres jusqu’à 1 000 mètres de haut.
Claude Grandpey partagera sa passion des volcans avec les auditeurs de la radio locale RCF Email Limousin le jeudi 6 novembre de 20 heures à 22 heures (rediffusion le dimanche 9 novembre de 16 heure à 18 heure) au cours de l’émission « Vies d’envies » animée par Chris Dussuchaud. La radio peut être écoutée sur internet ICI ou localement à Limoges : 99.6 ; Guéret : 95.8 ; Aubusson : 88.00 ; Bellac : 107.4 et St Yrieix : 100.2. Claude Grandpey est un passionné de volcanologie qui parcourt le monde pour observer les volcans actifs. Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur les volcans (Killer Volcanoes, L’île de Vulcano, Volcanecdotes, Mémoires volcaniques, etc.) et tient à jour un blog très riche sur l'actualité des volcans : ICI Il est aussi Président d'Honneur de L' Association de Volcanologie Européenne (LAVE) qui regroupe un grand nombre de passionnés et d'amoureux des volcans. Le site de l'association est disponible ICI Découvrez nos voyages
Claude Grandpey partagera sa passion des volcans avec les auditeurs de la radio locale RCF Email Limousin le jeudi 6 novembre de 20 heures à 22 heures (rediffusion le dimanche 9 novembre de 16 heure à 18 heure) au cours de l’émission « Vies d’envies » animée par Chris Dussuchaud.
La radio peut être écoutéesur internet ICI ou localement à Limoges : 99.6 ; Guéret : 95.8 ; Aubusson : 88.00 ; Bellac : 107.4 et St Yrieix : 100.2.
Claude Grandpey est un passionné de volcanologie qui parcourt le monde pour observer les volcans actifs. Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur les volcans (Killer Volcanoes, L’île de Vulcano, Volcanecdotes, Mémoires volcaniques, etc.) et tient à jour un blog très riche sur l’actualité des volcans : ICI
Il est aussi Président d’Honneur de L’ Association de Volcanologie Européenne (LAVE) qui regroupe un grand nombre de passionnés et d’amoureux des volcans. Le site de l’association est disponible ICI
Cela fait aujourd'hui un mois que l'éruption dans l'Holuhraun a commencé, et rien n'indique pour l'instant qu'elle va bientôt s'arrêter. Les environs restent toujours fermés au public, principalement en raison de l'émission de gaz toxiques et du risque toujours présent d'une éventuelle inondation. Il n'est nullement question pour l'instant d'ouvrir l'accès aux touristes ou autres visiteurs. A l'heure qu'il est, l'Holuhraun a crée un impressionnant champ de lave de 44 km2, représentant un demi kilomètre cube en volume. L'éruption la plus récente qui se rapproche le plus de l'Holuhraun en terme de volume est celle de l'Hekla, en 1947, dont le champ de lave a atteint 0,8 km3. Cependant, cette éruption a duré 13 mois, ce qui rend le débit de l'Holuhraun nettement plus élevé. On est loin toutefois de l'éruption du Laki en 1783, qui a produit un volume de 14 km3 de lave. L'éruption du Laki a duré 8 mois et on peut penser qu'elle a changé le cours de l'histoire. Pas seulement parce qu'elle a crée une famine en Islande qui a causé la mort d'un quart de la population, mais aussi parce que cette éruption a eu des conséquences dans tout l'hémisphère nord. Le Laki a modifé le climat de façon significative en Europe pendant plusieurs années. Certains pensent qu'il est en partie responsable de la famine qui a contribué à a révolution française ! L'éruption de l'Holuhraun modifie le paysage et nul ne sait quand elle va s'arrêter ! Découvrez l'Islande avec 80 Jours Voyages Découvrez l'article de JM Bardintzeff sur l'Holuhraun
Cela fait aujourd’hui un mois que l’éruption dans l’Holuhraun a commencé, et rien n’indique pour l’instant qu’elle va bientôt s’arrêter. Les environs restent toujours fermés au public, principalement en raison de l’émission de gaz toxiques et du risque toujours présent d’une éventuelle inondation. Il n’est nullement question pour l’instant d’ouvrir l’accès aux touristes ou autres visiteurs.
Les aurores boréales font partie des plus beaux spectacles offerts par la nature. Aujourd'hui, la quantité d'images diffusées sur internet permet à quiconque de se faire une idée de leur beauté. Mais le phénomène reste mystérieux pour la plupart d'entre nous. Tentative d'explication. Au départ, il y a le soleil, et surtout le vent solaire, qui transporte des particules jusqu'à la terre. Attirées par les pôles magnétiques qui jouent le rôle de puissants aimants, ces particules pénètrent la magnétosphère et heurtent les atomes qui y sont présents. Ceux-ci sont alors excités : un de leurs électrons change de couche, libérant ainsi une petite quantité d'énergie en émettant un photon qui crée de la lumière. La composition de notre atmosphère varie en fonction de l'altitude. Les particules de vent solaire entrent principalement en collision avec de l'azote ou de l'oxygène, en créant des variations de couleur. L'azote donne des aurores plutôt bleues tandis que l'oxygène en crée des vertes. Les aurores peuvent aussi contenir, plus rarement, des nuances de rouge. La plupart des aurores ont lieu entre 90 et 150 km d'altitude. La durée d'une aurore boréale est variable. Il n'y a aucune règle de ce côté-là : elle peut durer quelques minutes comme quelques heures, et son intensité peut changer au cours du spectacle. Pour pouvoir les admirer dans de bonnes conditions, il faut un ciel noir et dégagé, loin de toute pollution lumineuse. Mieux vaut aussi bien se couvrir : la nuit, sans la présence de nuages pour garder la chaleur au sol, et sous de telles latitudes, l'observation des aurores s'accompagne le plus souvent d'un froid mordant. L'équipe de 80 Jours Voyages organise chaque année des séjours d'observation des aurores en Islande. En petit groupe, vous partirez en plein cœur du désert islandais pour rejoindre le refuge de
Les aurores boréales font partie des plus beaux spectacles offerts par la nature. Aujourd’hui, la quantité d’images diffusées sur internet permet à quiconque de se faire une idée de leur beauté. Mais le phénomène reste mystérieux pour la plupart d’entre nous. Tentative d’explication.
L'éruption continue ces derniers jours dans l'Holuhraun, et son intensité varie au fil du temps. Ainsi le 1er septembre, on annonçait une baisse de l'intensité par rapport à la veille, tout en reconnaissant une activité encore puissante. Les fontaines de lave ont atteint des hauteurs de 30 à 50m. Le 2 septembre, l'activité sismique semblait avoir encore diminué mais cette nuit, aux alentours de 3h du matin le 3 septembre, un séisme de magnitude 5,5 a heurté le Bárðabunga, l'un des plus forts depuis le début de l'éruption. Trois autre séismes d'une magnitude supérieure à 4 ont eu lieu hier ; en tout, ce sont environ 500 tremblements de terre qui ont secoué le secteur hier, indiquant une nouvelle hausse de l'activité. Il est donc toujours aussi difficile de prévoir la suite des événements. A ce jour le secteur reste toujours fermé et il n'est pas possible d'accéder au lieu de l'éruption pour en admirer le spectacle. Mais une nouvelle vidéo, visible ICI, permet de se faire une idée de la situation. Découvrez nos voyages en Islande.
L’éruption continue ces derniers jours dans l’Holuhraun, et son intensité varie au fil du temps. Ainsi le 1er septembre, on annonçait une baisse de l’intensité par rapport à la veille, tout en reconnaissant une activité encore puissante. Les fontaines de lave ont atteint des hauteurs de 30 à 50m. Le 2 septembre, l’activité sismique semblait avoir encore diminué mais cette nuit, aux alentours de 3h du matin le 3 septembre, un séisme de magnitude 5,5 a heurté le Bárðabunga, l’un des plus forts depuis le début de l’éruption. Trois autre séismes d’une magnitude supérieure à 4 ont eu lieu hier ; en tout, ce sont environ 500 tremblements de terre qui ont secoué le secteur hier, indiquant une nouvelle hausse de l’activité.
Il est donc toujours aussi difficile de prévoir la suite des événements. A ce jour le secteur reste toujours fermé et il n’est pas possible d’accéder au lieu de l’éruption pour en admirer le spectacle. Mais une nouvelle vidéo, visible ICI, permet de se faire une idée de la situation.
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