Une récente étude conduite par le Dr Mara Milrooney, anthropologue au Bishop Museum à Honolulu (Hawaï), vient bousculer la théorie selon laquelle les habitants de l’île de Pâques se seraient « auto détruits » avant la première visite des européens en 1722. Selon la croyance populaire, les Rapa Nui auraient commis un “suicide environnemental” en pratiquant une déforestation massive de leur île. Les travaux du Dr Mulrooney, basés sur des datations par radio carbone, montrent au contraire que des traces d’agriculture subsistent bien après l’arrivée des européens et que les habitants auraient considérablement œuvré pour rendre leur terre plus productive dans une logique de développement durable. Le déclin de la société des Rapa Nui n’aurait commencé qu’à cause des maladies introduites par les européens au XVIIIème siècle. Pour en savoir plus, retrouvez ici l'intégralité de l'article (en anglais) Découvrez notre voyage à l'Ile de Pâques
Une récente étude conduite par le Dr Mara Milrooney, anthropologue au Bishop Museum à Honolulu (Hawaï), vient bousculer la théorie selon laquelle les habitants de l’île de Pâques se seraient « auto détruits » avant la première visite des européens en 1722.
L'île apparue au large du Japon en novembre dernier nous donne l'occasion de revenir sur ce type de phénomènes, nommés éruptions surtseyennes depuis l'apparition de l'île de Surtsey, au large de l'Islande, en 1963. Ce type d'éruption est caractéristique de l'interaction entre du magma brûlant et une grande quantité d'eau de mer ou d'un lac. Cependant pour qu'un tel phénomène puisse se produire il faut une faible profondeur d'eau, car une trop grande épaisseur étoufferait, sous une pression bien trop forte, toute tentative d'explosion. Une éruption sursteyenne se divise en trois phases : une sous-marine, une hydromagmatique, et une aérienne. Lors de la phase sous-marine, la lave s'échappe par une fissure au fond de l'océan. Au début, la pression de l'eau empêche toute activité explosive, et le volcan sous-marin grandit, s'approchant de plus en plus de la surface. La quantité d'eau faisant pression sur le volcan diminue, et lorsque la pression de l'eau est trop faible, la lave se fragmente sous le choc thermique. On voit alors apparaître un panache au-dessus de la surface, panache composé majoritairement de vapeur d'eau mais aussi de cendres volcaniques. Le volcan continue à grandir, et peu à peu à émerger, jusqu'à ce que la cheminée volcanique débouche au-dessus du niveau de l'eau. On entre dans la phase aérienne, pendant laquelle le rôle de l'eau diminue, et l'éruption continue suivant le type de lave émis par le volcan. Un schéma de ce type d'éruption en résume les différentes phases. Ce type d'explosion a également été observé au large de Faial, dans l'archipel des Açores. C'est ainsi qu'est né le volcan de Capelinhos, à l'ouest de l'île, en 1957, soit avant l'île de Surstey. Photo : Capelinhos, sur l'île de Faial, archipel des açores
L’île apparue au large du Japon en novembre dernier nous donne l’occasion de revenir sur ce type de phénomènes, nommés éruptions surtseyennes depuis l’apparition de l’île de Surtsey, au large de l’Islande, en 1963.
Ce type d’éruption est caractéristique de l’interaction entre du magma brûlant et une grande quantité d’eau de mer ou d’un lac. Cependant pour qu’un tel phénomène puisse se produire il faut une faible profondeur d’eau, car une trop grande épaisseur étoufferait, sous une pression bien trop forte, toute tentative d’explosion. Une éruption sursteyenne se divise en trois phases : une sous-marine, une hydromagmatique, et une aérienne. Lors de la phase sous-marine, la lave s’échappe par une fissure au fond de l’océan. Au début, la pression de l’eau empêche toute activité explosive, et le volcan sous-marin grandit, s’approchant de plus en plus de la surface. La quantité d’eau faisant pression sur le volcan diminue, et lorsque la pression de l’eau est trop faible, la lave se fragmente sous le choc thermique. On voit alors apparaître un panache au-dessus de la surface, panache composé majoritairement de vapeur d’eau mais aussi de cendres volcaniques. Le volcan continue à grandir, et peu à peu à émerger, jusqu’à ce que la cheminée volcanique débouche au-dessus du niveau de l’eau. On entre dans la phase aérienne, pendant laquelle le rôle de l’eau diminue, et l’éruption continue suivant le type de lave émis par le volcan.
Un schéma de ce type d’éruption en résume les différentes phases.
Ce type d’explosion a également été observé au large de Faial, dans l’archipel des Açores. C’est ainsi qu’est né le volcan de Capelinhos, à l’ouest de l’île, en 1957, soit avant l’île de Surstey.
Photo : Capelinhos, sur l’île de Faial, archipel des açores
La vidéo d'aurore boréale, fabriquée à partir de clichés de 3 secondes chacun, pris à travers le hublot d'un avion, montre une aurore boréale dansant dans le ciel arctique. C'est au cours d'un vol Londres-New York que le photographe Paul Williams, déjà auteur de plusieurs timelapses d'aurores, a assisté au spectacle.
La vidéo d’aurore boréale, fabriquée à partir de clichés de 3 secondes chacun, pris à travers le hublot d’un avion, montre une aurore boréale dansant dans le ciel arctique. C’est au cours d’un vol Londres-New York que le photographe Paul Williams, déjà auteur de plusieurs timelapses d’aurores, a assisté au spectacle.
Le supervolcan situé sous le parc du Yellowstone aux Etats-Unis serait beaucoup plus grand que ce que l'on pensait jusqu'alors. Une étude scientifique rapporte en effet que la chambre magmatique serait 2,5 fois plus grande que prévu ! Les dernières données ont été annoncées lors de la rencontre annuelle de la société américaine de géologie. Le professeur Bob Smith, de l'université de l'Utah, a déclaré : " Nous travaillons sur ce sujet depuis longtemps, et nous avons toujours pensé que le supervolcan était plus grand… mais ces découvertes sont étonnantes". Aujourd'hui les chercheurs pensent avoir une meilleure idée de ce qui se passe sous la surface, grâce à un réseau de sismomètres installés autour du parc pour cartographier la chambre magmatique. Le docteur Jamie Farrell, de l'université de l'Utah, explique : " Nous enregistrons les tremblements de terre dans et autour du Yellowstone, et nous mesurons les vagues sismiques qui voyagent à travers le sol. Ces vagues voyagent plus lentement dans la matière chaude et partiellement fondue…grâce à cela, nous pouvons mesurer ce qui est sous la surface. D'après les mesures, la chambre magmatique serait colossale. Situé entre 2 et 15 km sous la caldeira, le réservoir mesurerait 90 km de long selon un axe nord-est sud-est, pour 20 km de large. Son volume d'environ 4 000 km3 serait rempli à hauteur de 6 à 8% par de la roche en fusion. Le parc du Yellowstone est connu pour ses nombreux geysers et sources chaudes. Il contient en effet plus des 2/3 des geysers de la planète. Pour mieux comprendre les phénomènes géothermiques du plus ancien parc naturel au monde, profitez de notre voyage.
Le supervolcan situé sous le parc du Yellowstone aux Etats-Unis serait beaucoup plus grand que ce que l’on pensait jusqu’alors. Une étude scientifique rapporte en effet que la chambre magmatique serait 2,5 fois plus grande que prévu ! Les dernières données ont été annoncées lors de la rencontre annuelle de la société américaine de géologie.
C'est une petite vidéo d'à peine plus de 3 minutes qui nous convainc de l'importance du requin dans l'écosystème. Pas besoin de long discours, une simple démonstration suffit. Le requin, en tant que prédateur situé au sommet de la chaîne alimentaire des océans, joue son rôle de régulateur. Il se nourrit de proies variées et influe sur leur nombre. Si on supprime les requins, ou simplement si on en diminue significativement le nombre, ses proies vont devenir plus nombreuses, et donc se nourrir en plus grande quantité : les espèces situées en-dessous d'elle dans la chaîne alimentaire vont alors diminuer drastiquement. C'est un effet en cascade, un déséquilibre dû à l'acharnement contre les requins. C'est extrêmement simple, et pourtant cela semble si difficile à comprendre. Le requin, animal mythique s'il en est, a des admirateurs et des défenseurs, mais aussi beaucoup d'ennemis. Car ses attaques, aussi peu nombreuses qu'elles soient, sont spectaculaires. Et on ne compte plus les gens dont l'idée du requin tueur a été façonnée par les fameuses "Dents de la mer", de Steven Spielberg. L'occasion de rappeler que tout est faux au cinéma, et d'ailleurs personne n'a eu peur de se faire dévorer par un dinosaure après avoir vu Jurassic Park. Mais là n'est pas le sujet. Le problème vient peut-être du fait que jamais les journalistes n'écrivent que c'est à l'homme de faire attention. Que le requin est un animal sauvage, magnifique, et dangereux, mais qu'il n'est pas fondamentalement agressif. L'homme n'est d'ailleurs pas sa proie favorite : on rapporte des attaques de requin, souvent sur des surfeurs, mais on ne parle pas d'animal ayant totalement dévoré un être humain ( sauf dans "les dents de la mer" - mais, puisque tout est faux au cinéma ! ). Avant de s'attaquer au requin, l'homme ferait peut-être
C’est une petite vidéo d’à peine plus de 3 minutes qui nous convainc de l’importance du requin dans l’écosystème. Pas besoin de long discours, une simple démonstration suffit. Le requin, en tant que prédateur situé au sommet de la chaîne alimentaire des océans, joue son rôle de régulateur. Il se nourrit de proies variées et influe sur leur nombre. Si on supprime les requins, ou simplement si on en diminue significativement le nombre, ses proies vont devenir plus nombreuses, et donc se nourrir en plus grande quantité : les espèces situées en-dessous d’elle dans la chaîne alimentaire vont alors diminuer drastiquement. C’est un effet en cascade, un déséquilibre dû à l’acharnement contre les requins.
Nicolas Dubreuil, explorateur photographe, vient de publier "Kullorsuaq, un village aux confins du Groenland", dans lequel il raconte le quotidien de la vie en Arctique, dans un des villages les plus septentrionaux du monde, un des plus difficiles d'accès du Groenland. Il parle de l'importance de vivre avec la nature, d'avoir conscience qu'elle nous domine et pas l'inverse, de la tentation des jeunes à s'exiler, de facebook et de la difficulté de passer d'un monde à l'autre. Il décrit une "écologie occidentale", rappelle à quel point nous sommes déconnectés de cette nature qu'il aime tant, incite les gens à découvrir les terres polaires, tout ça et plus encore au micro de Fabienne Sintès, sur France Info. Le podcast s'écoute ici. "Kullorsuaq, un village aux confins du Groenland", Nicolas Dubreuil, éditions La Martinière
Nicolas Dubreuil, explorateur photographe, vient de publier « Kullorsuaq, un village aux confins du Groenland« , dans lequel il raconte le quotidien de la vie en Arctique, dans un des villages les plus septentrionaux du monde, un des plus difficiles d’accès du Groenland.
Un article de Sciences et avenir nous apprend qu'un précieux manuscrit, décrivant les richesses géologiques du parc du Yellowstone avant que celui-ci fut crée, vient d'être cédé à la Montana State University par un particulier. Dès 1809, une première personne parle des geysers et des phénomènes géothermiques du Yellowstone, mais personne ne le croit. John Colter, membre de l'expédition Lewis et Clarke, qui effectua la première traversée transcontinentale des Etats-Unis entre 1804 et 1806, décide d'aller explorer, seul, certaines régions sacrifiées sur le parcours. Et découvre les geysers du Yellowstone. Le pauvre homme est moqué, personne n'adhère à ses histoires de geyser, ni à ses descriptions des paysages calcaires. Et pendant de longues années, le site de l'actuel parc reste totalement inconnu. Pourtant, les rumeurs de ces étranges mares d'eau bouillante restent ancrées et en 1869, un ingénieur des mines, David Edwin Folsom, part vérifier la légende. Il emmène avec lui deux hommes avec qui il travaille dans un camp de chercheurs d'or, Charles Cook et William Peterson. Pendant 4 semaines, David Edwin Folsom et Charles Cook tiennent un journal, dans lequel il décrivent avec force détails comment ils font cuire des poissons dans l'eau chaude, ou comment ils mesurent la hauteur des chutes d'eau avec une pierre nouée à une corde. Une fois encore, le doute s'installe, et aucune revue prestigieuse n'accepte de publier le document. C'est le Western Monthly Magazine qui publie l'article, en 1870, sans que celui-ci ait beaucoup d'impact. Il faudra deux expéditions supplémentaires, en 1870 et 1871, pour convaincre le Congrès des Etats-Unis de créer un parc national sur le site de Yellowstone. Puis, une succession d'incendies laisse croire que le manuscrit original de Folsom et Cook a disparu : d'abord les bureaux du journal disparaissent dans le grand incendie de Chicago de 1871, et
Un article de Sciences et avenir nous apprend qu’un précieux manuscrit, décrivant les richesses géologiques du parc du Yellowstone avant que celui-ci fut crée, vient d’être cédé à la Montana State University par un particulier.
Morte ou pas morte, la comète ISON ? Les scientifiques avaient annoncé que la comète n'avait pas survécu à son approche du soleil le 28 novembre dernier. La presse et nous-même avions donc répété l'information, mais aujourd'hui les choses semblent un peu différentes… le 30 novembre en effet, la NASA a posté un GIF sur son site, montrant ce qu'il restait de la comète, affirmant que les chercheurs pensaient que le noyau avait survécu. Le reliquat de la comète aurait par contre disparu depuis le 1er décembre, même si on peut lire sur le site de Sciences et avenir que les astronomes attendent les dernières images du télescope Hubble pour être sûrs du sort d'ISON.
Morte ou pas morte, la comète ISON ? Les scientifiques avaient annoncé que la comète n’avait pas survécu à son approche du soleil le 28 novembre dernier. La presse et nous-même avions donc répété l’information, mais aujourd’hui les choses semblent un peu différentes… le 30 novembre en effet, la NASA a posté un GIF sur son site, montrant ce qu’il restait de la comète, affirmant que les chercheurs pensaient que le noyau avait survécu. Le reliquat de la comète aurait par contre disparu depuis le 1er décembre, même si on peut lire sur le site de Sciences et avenir que les astronomes attendent les dernières images du télescope Hubble pour être sûrs du sort d’ISON.
Il semblerait que la comète ISON n'ait pas survécu à son passage près du soleil. Elle a en effet disparu des écrans du satelitte SOHO au moment où elle s''approchait du soleil hier jeudi 28 novembre, ce qui pousse fortement à croire qu'elle s'est désagrégée. C'est en tout cas la conclusion tirée par la majorité de la communauté scientifique. Pendant ce temps, l'île volcanique découverte au sud de Tokyo le 20 novembre dernier grossit presque à vue d'oeil. D'un diamètre initial de 200 m, elle aurait aujourd'hui une forme de patate allongée, de 400m de long sur 200m de large. Les gardes-côtes japonais ont confirmé qu'il y avait désormais deux cratères, crachant à une fréquence élevée cendres et fumée. Ils ont également observé une coulée de lave lundi 25 novembre 2013, lave dont le durcissement augmente les chances de l'île de rester émergée. L'activité volcanique semble donc très intense, et il est possible qu'elle dure longtemps. Le gouvernement, prudent, préfère toutefois attendre avant de donner un nom à l'île. Photo 80 jours Voyages : comète Pastarrs observée en Islande
Il semblerait que la comète ISON n’ait pas survécu à son passage près du soleil. Elle a en effet disparu des écrans du satelitte SOHO au moment où elle s »approchait du soleil hier jeudi 28 novembre, ce qui pousse fortement à croire qu’elle s’est désagrégée. C’est en tout cas la conclusion tirée par la majorité de la communauté scientifique.
C'est un documentaire qui fait parler de lui aux Etats-Unis, et bien que sa diffusion soit prévue sur Arte en 2014 et pas sur les écrans de cinéma, espérons qu'il ait son effet ici aussi. Réalisé par l'américaine Gabriela Cowperthwaite, Blackfish, sorti sur les écrans américains en juillet 2013, revient sur un fait divers tragique qui avait, à l'époque, beaucoup ému l'Amérique : la mort, en 2010, de la dresseuse d'orques Dawn Brancheau, attaquée par un des animaux du parc Seaworld. Au delà de l'intérêt de son sujet, une autre raison nous donne envie de voir ce documentaire : il n'a pas été fait par une fervente défenseur de la cause animale dont le manque d'objectivité aurait pu nuire au propos. La réalisatrice est une maman ayant amené plusieurs fois ses enfants dans le célèbre parc d'attractions, et c'est sa perplexité face à un tel événement qui l'a poussée à enquêter sur ses causes. Elle était apparemment loin de se douter de ce qu'elle allait découvrir. Car Gabriela Cowperthwaithe remet en cause toutes les belles paroles de Seaworld, qui affirme haut et fort que les orques vivent plus longtemps en captivité, grâce notamment à un suivi médical poussé ( le suivi médical, forcément plus poussé dans un parc animalier que pour des animaux en liberté, n' a en réalité aucune conséquence sur la longévité des orques ; il semble au contraire que celles-ci meurent plus jeunes en captivité ). Qu'elles sont l'objet de toutes les attentions, que leurs conditions de vie feraient pâlir d'envie leurs confrères à l'état sauvage. Et qu'un animal sauvage de près de 5 tonnes n'est absolument pas dangereux en captivité. En cherchant à remonter au tout début de l'histoire de Tilikum, l'orque tueuse, c'est tout autre chose que la jeune femme à découvert. La capture, pour
C’est un documentaire qui fait parler de lui aux Etats-Unis, et bien que sa diffusion soit prévue sur Arte en 2014 et pas sur les écrans de cinéma, espérons qu’il ait son effet ici aussi. Réalisé par l’américaine Gabriela Cowperthwaite, Blackfish, sorti sur les écrans américains en juillet 2013, revient sur un fait divers tragique qui avait, à l’époque, beaucoup ému l’Amérique : la mort, en 2010, de la dresseuse d’orques Dawn Brancheau, attaquée par un des animaux du parc Seaworld.
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