Claude Grandpey partagera sa passion des volcans avec les auditeurs de la radio locale RCF Email Limousin le jeudi 6 novembre de 20 heures à 22 heures (rediffusion le dimanche 9 novembre de 16 heure à 18 heure) au cours de l’émission « Vies d’envies » animée par Chris Dussuchaud. La radio peut être écoutée sur internet ICI ou localement à Limoges : 99.6 ; Guéret : 95.8 ; Aubusson : 88.00 ; Bellac : 107.4 et St Yrieix : 100.2. Claude Grandpey est un passionné de volcanologie qui parcourt le monde pour observer les volcans actifs. Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur les volcans (Killer Volcanoes, L’île de Vulcano, Volcanecdotes, Mémoires volcaniques, etc.) et tient à jour un blog très riche sur l'actualité des volcans : ICI Il est aussi Président d'Honneur de L' Association de Volcanologie Européenne (LAVE) qui regroupe un grand nombre de passionnés et d'amoureux des volcans. Le site de l'association est disponible ICI Découvrez nos voyages
Claude Grandpey partagera sa passion des volcans avec les auditeurs de la radio locale RCF Email Limousin le jeudi 6 novembre de 20 heures à 22 heures (rediffusion le dimanche 9 novembre de 16 heure à 18 heure) au cours de l’émission « Vies d’envies » animée par Chris Dussuchaud.
La radio peut être écoutéesur internet ICI ou localement à Limoges : 99.6 ; Guéret : 95.8 ; Aubusson : 88.00 ; Bellac : 107.4 et St Yrieix : 100.2.
Claude Grandpey est un passionné de volcanologie qui parcourt le monde pour observer les volcans actifs. Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur les volcans (Killer Volcanoes, L’île de Vulcano, Volcanecdotes, Mémoires volcaniques, etc.) et tient à jour un blog très riche sur l’actualité des volcans : ICI
Il est aussi Président d’Honneur de L’ Association de Volcanologie Européenne (LAVE) qui regroupe un grand nombre de passionnés et d’amoureux des volcans. Le site de l’association est disponible ICI
Comme nous l'apprend Claude Granpey sur son blog, l'activité du volcan Copahue, au Chili, continue et le niveau d'alerte est passé à orange. Une zone de sécurité de 3 kilomètres a été mise en place autour du volcan, sans pour autant impliquer d'évacuations. Le nombre de petites explosions ne cesse d'augmenter, et les derniers rapports prédisent une forte "probabilité d'événements éruptifs mineurs." Le volcan Copahue est un stratovolcan situé à la frontière entre le Chili et l'Argentine. Il culmine à 2 997 m et comporte plusieurs cratères, dont un seul est actif et est extrêmement profond : environ 300 mètres ! Au fond de ce cratère se trouve un lac de trois hectares, alimenté par les eaux pluviales, chauffées par les arrivées d'eaux chaudes, de vapeur et de gaz. Une forte odeur de soufre s'en dégage. Le Copahue fait partie des volcans au programme de nos voyages au Chili. Découvrez tous nos séjours au Chili ici.
Comme nous l’apprend Claude Granpey sur son blog, l’activité du volcan Copahue, au Chili, continue et le niveau d’alerte est passé à orange. Une zone de sécurité de 3 kilomètres a été mise en place autour du volcan, sans pour autant impliquer d’évacuations. Le nombre de petites explosions ne cesse d’augmenter, et les derniers rapports prédisent une forte « probabilité d’événements éruptifs mineurs. »
Le Parlement indonésien a voté il y a quelques jours une loi attendue depuis longtemps. Elle va permettre le développement de l’énergie géothermique et la mise en valeur de l’énergie qui se cache sous les quelque 130 volcans actifs de l’archipel. On estime que l’Indonésie détient environ 40 pour cent du potentiel géothermique de la planète mais qu’elle ne produit qu’une infime fraction de son énergie en convertissant la chaleur du sol en électricité. Le pays se situe loin derrière d’autres nations comme les Etats-Unis ou les Philippines. La lenteur administrative et les tracasseries juridiques ont longtemps freiné l’industrie géothermique en Indonésie et empêché les investissements indispensables. Le gouvernement espère que la nouvelle loi permettra d’accélérer le développement de ce secteur. Elle stipule – c’est le point le plus important – que l’exploration de l’énergie géothermique et le développement des centrales ne sont plus considérés comme une exploitation minière. Ils étaient considérés en tant que tel auparavant de sorte que l’industrie ne pouvait guère s’engager dans des régions indonésiennes où la forêt est protégée et où il y a un fort potentiel géothermique, mais où l’exploitation minière est illégale. On estime que l’Indonésie a un potentiel géothermique de plus de 28 000 mégawatts mais elle produit actuellement seulement un peu plus de 1300 MW de son électricité à partir d’une source d’énergie propre. La plus grande partie de son électricité provient du charbon et du pétrole. Le coût élevé de la géothermie a longtemps été l’un des principaux obstacles à son développement. En effet, une centrale géothermique coûte environ deux fois plus qu’une centrale électrique au charbon et peut nécessiter de nombreuses années de recherche et de développement avant d’être opérationnelle. Mais une fois mises en place, les centrales géothermiques comme celle construite à Kamojang sur l’île de Java dans
Le Parlement indonésien a voté il y a quelques jours une loi attendue depuis longtemps. Elle va permettre le développement de l’énergie géothermique et la mise en valeur de l’énergie qui se cache sous les quelque 130 volcans actifs de l’archipel. On estime que l’Indonésie détient environ 40 pour cent du potentiel géothermique de la planète mais qu’elle ne produit qu’une infime fraction de son énergie en convertissant la chaleur du sol en électricité. Le pays se situe loin derrière d’autres nations comme les Etats-Unis ou les Philippines.
La lenteur administrative et les tracasseries juridiques ont longtemps freiné l’industrie géothermique en Indonésie et empêché les investissements indispensables. Le gouvernement espère que la nouvelle loi permettra d’accélérer le développement de ce secteur. Elle stipule – c’est le point le plus important – que l’exploration de l’énergie géothermique et le développement des centrales ne sont plus considérés comme une exploitation minière. Ils étaient considérés en tant que tel auparavant de sorte que l’industrie ne pouvait guère s’engager dans des régions indonésiennes où la forêt est protégée et où il y a un fort potentiel géothermique, mais où l’exploitation minière est illégale.
On estime que l’Indonésie a un potentiel géothermique de plus de 28 000 mégawatts mais elle produit actuellement seulement un peu plus de 1300 MW de son électricité à partir d’une source d’énergie propre. La plus grande partie de son électricité provient du charbon et du pétrole.
Le coût élevé de la géothermie a longtemps été l’un des principaux obstacles à son développement. En effet, une centrale géothermique coûte environ deux fois plus qu’une centrale électrique au charbon et peut nécessiter de nombreuses années de recherche et de développement avant d’être opérationnelle. Mais une fois mises en place, les centrales géothermiques comme celle construite à Kamojang sur l’île de Java dans les années 1980 peuvent convertir la chaleur volcanique en électricité à un coût beaucoup plus bas – et avec moins de pollution – que le charbon.
Avec l’énergie géothermique, l’Indonésie devrait normalement réduire d’ici 2020 les émissions de gaz à effet de serre de 26 pour cent par rapport aux niveaux de 2005. L’Indonésie est le troisième plus grand émetteur de gaz à effet de serre dans le monde en raison de son utilisation de combustibles polluants pour produire de l’électricité et à cause de la déforestation galopante.
La lave continue de couler après l'éruption qui a eu lieu hier matin dans l'Holuhraun en Islande. Le Bárðarbunga a été touché par deux séismes cette nuit, de magnitude 3,9 et 4,2. Cette seconde éruption est beaucoup plus importante que celle de vendredi matin, mais sa nature ne la rend pas menaçante pour le trafic aérien. L'éruption émet principalement du basalte, et pas du tout de cendres, comme cela s'était produit en 2010 lors du réveil de l'Eyjafjallajökull. Le débit de la lave serait proche de 1 000 m3 par seconde, et selon certains scientifiques, l'éruption pourrait durer très longtemps. Cette éruption montre bien à quel point il est difficile de faire des pronostics dans ce genre de situation. Depuis le début de l'activité sismique et les premières dépêches à propos d'une possible éruption (et surtout d'une éventuelle paralysie du trafic aérien), on constate qu'en dehors de surveiller de très près les événements, il est impossible de savoir exactement ce qui va se passer. Chaque analyse offre plusieurs scénarios, aucune hypothèse ne pouvant être affirmée. Il est particulièrement intéressant de constater que l'éruption de la nuit dernière s'est produite alors qu'aucune activité sismique n'avait été enregistrée dans le secteur. La principale question que beaucoup se posent aujourd'hui, c'est ce qu'il va advenir du dyke, et comment va évoluer la sismicité qui l'entoure. Comme l'explique Claude Granpey, "après l’éruption éclair du 29 août, la sismicité semblait montrer un retour en arrière du magma le long de l’intrusion, ce qui a poussé certains à affirmer qu’il y avait à nouveau un risque d’éruption sous le glacier Dingjujökull. A l’heure actuelle, une telle éventualité ne s’est pas vérifiée et la sismicité a tendance à décliner, peut-être suite à l’évacuation de la pression au niveau de l’éruption fissurale." Nous ne nous prononcerons pas sur
La lave continue de couler après l’éruption qui a eu lieu hier matin dans l’Holuhraun en Islande. Le Bárðarbunga a été touché par deux séismes cette nuit, de magnitude 3,9 et 4,2. Cette seconde éruption est beaucoup plus importante que celle de vendredi matin, mais sa nature ne la rend pas menaçante pour le trafic aérien. L’éruption émet principalement du basalte, et pas du tout de cendres, comme cela s’était produit en 2010 lors du réveil de l’Eyjafjallajökull.
Bien qu’aucun événement visible ne se soit encore produit, la possibilité d’une éruption volcanique du Bárðarbunga se fait de plus en plus pressante. Hier, le premier ministre islandais a rencontré les secouristes et les responsables de la protection civile à ce sujet. Les nouvelles d’une possible éruption du Bárðarbunga qui se sont répandues à travers le monde ont déjà eu des effets réels sur l’Islande. Par exemple, les actions de la compagnie Icelandair ont chuté en Bourse de 4,35%. Si une éruption du Bárðarbunga se produit, il est probable qu’elle génèrera un nuage de cendre ainsi que les inondations qui vont probablement se diriger vers le nord, jusqu’à la rivière Jökulsá á Fjöllum. Les curieux à la recherche de sensations fortes sont invités à rester à l’écart de la zone, les routes menant près Bárðarbunga ont été fermées. Sur le terrain, le Met Office indiquait ce matin que quelque 2600 secousses ont été enregistrées depuis le début de la crise sismique. La majorité des secousses ont été localisées à 5-10 km de profondeur et rien n’indique actuellement que le magma est en train de migrer vers la surface. Il n’y a aucun signe d’une activité éruptive en cours ou imminente. Vous pouvez suivre l’activité du Bárðarbunga via une webcam à cette adresse: http://vedur2.mogt.is/grimsfjall/webcam/ Source : Claude GRANDPEY 19 Août 2014 Découvrez nos voyages en Islande.
Bien qu’aucun événement visible ne se soit encore produit, la possibilité d’une éruption volcanique du Bárðarbunga se fait de plus en plus pressante. Hier, le premier ministre islandais a rencontré les secouristes et les responsables de la protection civile à ce sujet.
Rien de très nouveau aujourd’hui dans le NO du glacier Vatnajökull mais la sismicité reste élevée (on a enregistré 1 115 secousses pendant le week-end) avec deux essaims : l’un à l’est du Bárðarbunga, l’autre en bordure du glacier Dyngjujökull, juste à l’est de Kistufell. Le Met Office a enregistré une secousse de M4 tôt ce matin dans l’essaim de Kistufell. C’est le séisme le plus fort enregistré depuis 1996 dans la région. L’alerte aérienne est passée à l’Orange. Par précaution, la route de Gæsavatnaleið et d’autres pistes à l’est de Skjálfandafljót vers l’Askja ont été fermées. De la même façon, la piste F 88 vers Herðubreiðarlindir (F88) n’est plus accessible à cause du risque d’inondation en cas d’éruption sous-glaciaire. Bien malin serait celui qui pourrait dire comment la situation va évoluer. Au vu de la sismicité intense et superficielle, du niveau élevé du tremor et des déformations enregistrées sur le terrain, on serait tenté de pronostiquer une éruption à court terme. C’est le point de vue actuel des volcanologues islandais. Mais tout n’est pas aussi facile dans le cas des volcans sous-glaciaires ! Il se peut aussi qu’il ne se passe rien et que l’éruption avorte. Il se peut aussi que le magma se contente de faire chauffer le glacier en provoquant sa fonte et des inondations, sans apparition d’un panache éruptif. Un autre facteur assez déroutant en ce moment est l’ampleur de la zone affectée par la sismicité. Il ne faudrait pas que cela annonce une éruption fissurale dans le secteur. Elle aurait probablement une autre ampleur qu’une simple éruption sous-glaciaire. Erik Klemetti nous rappelle sur son blog (http://www.wired.com/2014/08/significant-earthquake-swarm-hits-icelands-bardarbunga/#more-1425341) qu’il y a 8500 ans, le volcan Barðarbunga a été la source de la coulée de lave de Þjórsá (Thjorsa), la plus volumineuse jamais observée en Islande avec 25
Rien de très nouveau aujourd’hui dans le NO du glacier Vatnajökull mais la sismicité reste élevée (on a enregistré 1 115 secousses pendant le week-end) avec deux essaims : l’un à l’est du Bárðarbunga, l’autre en bordure du glacier Dyngjujökull, juste à l’est de Kistufell.
A Hawaii, le volcan Mauna Kea, qui culmine à 4 200 m, abrite quelques-uns des plus grands télescopes du monde. Les travaux d'un nouveau télescope devraient commencer dans quelques mois, pour une mise en service en 2022. Claude Granpey en a parlé récemment dans son blog. La chaîne Arte propose une série scientifique de découverte du cosmos à partir des grands sites d'observation situés aux quatre coins du globe. Un épisode est consacré au Mauna Kea, et visible encore quelques jours sur Arte + 7. Découvrez nos séjours sur les volcans d'Hawaii.
A Hawaii, le volcan Mauna Kea, qui culmine à 4 200 m, abrite quelques-uns des plus grands télescopes du monde. Les travaux d’un nouveau télescope devraient commencer dans quelques mois, pour une mise en service en 2022. Claude Granpey en a parlé récemment dans son blog.
Publiée sur le blog de Claude Granpey, cette vidéo montre en accéléré l'activité éruptive du volcan Ubinas, au PEROU, le 15 Juillet 2014. L'activité du volcan est stable et relativement réduite ces derniers jours. Découvrez nos voyages sur les volcans du Pérou
Publiée sur le blog de Claude Granpey, cette vidéo montre en accéléré l’activité éruptive du volcan Ubinas, au PEROU, le 15 Juillet 2014. L’activité du volcan est stable et relativement réduite ces derniers jours.
Le blog de Claude Granpey nous donne les dernières informations sur 3 volcans actifs du Pérou : l'Ubinas, le Misti et le Sabancaya. D'après l’Institut Géophysique du Pérou, l'Ubinas a connu un épisode éruptif le 30 Juin à 08h58. La colonne de cendres est montée jusqu’à 1 800 mètres au-dessus du cratère. L’Institut fait remarquer que pendant les jours précédant l’éruption le volcan avait été assez calme, avec peu d’émissions de cendre et quelques panaches de vapeur. La dernière éruption de l’Ubinas avait eu lieu le 19 Juin, avec une colonne de cendre de 1400 mètres de hauteur. Culminant à 5 672m d'altitude, l'Ubinas est le volcan le plus actif du Pérou, avec 23 épisodes de grande activité (caractérisés par des fumerolles et l'émission de cendres) enregistrés depuis le 16ème siècle, d'après l'Institut Géophysique du Pérou. Son activité a fortement augmenté depuis le 27 mars 2006, avec des explosions, des expulsions de cendre et de pierres. Selon le dernier rapport de l’Institut Géophysique, l’activité sismique du Misti est actuellement faible. Les événements sismiques – à raison de 20 événements en moyenne chaque jour – qui sont enregistrés sont principalement d’origine volcano-tectonique et associés à la rupture de roches à l’intérieur de l’édifice. Cependant, au cours des deux dernières semaines, l’activité sismique a légèrement augmenté en passant de 345 à 417 événements, mais leur énergie quotidienne reste faible. Dans le même temps, l’activité du Sabancaya a légèrement augmenté au cours des dernières semaines (surtout depuis le 3 juin). Deux principaux foyers sismiques sont actuellement observés, à 16 km au NE du cratère et 10 km à l’E du cratère. Les émissions fumerolliennes ont légèrement augmenté. Aucune anomalie thermique importante n’a été détectée sur les images satellites. Le Sabancaya culmine à 5 967m et fait partie des 10 volcans actifs les plus
Le blog de Claude Granpey nous donne les dernières informations sur 3 volcans actifs du Pérou : l’Ubinas, le Misti et le Sabancaya.
Cet été s'ouvre un vaste projet d'étude du Mont St Helens, aux Etats-Unis. Des chercheurs de plusieurs universités américaines vont en effet faire exploser des charges disposées tout autour du volcan, dans une vingtaine de puits forés à 25 m de profondeur. En enregistrant ensuite l'énergie sismique des explosions, ils espèrent "mieux comprendre comment le magma se fraye un chemin jusqu'au cratère du Mont St Helens à partir de la zone où les plaques tectoniques Juan de Fuca et nord américaine entrent en collision et où se forme le magma, à 100 km de profondeur." Tandis que le magma se fraye un chemin vers la surface, il est possible qu’il s’accumule dans une grande chambre à quelques kilomètres de profondeur. Le trajet entre la source et cette chambre magmatique est presque totalement inconnu et sera sujet principal de l’étude. Le projet, financé par la National Science Foundation, devrait se terminer à l’été 2016. Les scientifiques espèrent que leurs recherches permettront de mieux comprendre les éruptions et donc conduire à une meilleure prévention. Le projet « Imaging Magma Under St. Helens » comporte trois volets distincts: une étude sismique des sources actives (sources contrôlées), une étude sismique des sources passives (sources naturelles) et une étude magnétotellurique utilisant les fluctuations du champ électromagnétique de la Terre pour produire des images des structures qui se cachent sous la surface. Les chercheurs commenceront par étudier les sources passives et l’aspect magnétotellurique, tandis que l’étude des sources actives (mesure des ondes sismiques générées par des explosions souterraines) sera effectuée plus tard. L’étude des sources passives consiste à enterrer des sismomètres sur 70 sites différents à travers une zone de 100 kilomètres de côté centrée sur le Mont St. Helens. Les sismomètres enregistreront les données à partir d’une variété d’événements sismiques, qu’il soit locaux ou éloignés. Les signatures
Cet été s’ouvre un vaste projet d’étude du Mont St Helens, aux Etats-Unis. Des chercheurs de plusieurs universités américaines vont en effet faire exploser des charges disposées tout autour du volcan, dans une vingtaine de puits forés à 25 m de profondeur. En enregistrant ensuite l’énergie sismique des explosions, ils espèrent « mieux comprendre comment le magma se fraye un chemin jusqu’au cratère du Mont St Helens à partir de la zone où les plaques tectoniques Juan de Fuca et nord américaine entrent en collision et où se forme le magma, à 100 km de profondeur. »
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