Après la fin de ses études en géologie à l’Université de Grenoble, Pierre Fijalkowski se lance dans de grandes expéditions en kayak de mer en solitaire. En 1989, il remonte la côte nord du Spitzberg sur 1000 km avant d’être bloqué par la banquise. En 1991, il est récompensé du prix de la « borne IGN de l’Aventure » conjointement avec Florence Arthaud et Christine Janin et est nommé « meilleur aventurier de l’année 1991 ». En 1992 il remonte la côte de l’Alaska sur 3000 km en solitaire, ce qui lui vaut un moment de célébrité lorsqu’il présente son aventure sur le plateau de « Nulle Part Ailleurs » à Canal +.

Depuis, il ne cesse de s’engager dans de nombreuses aventures dans le grand Nord norvégien et en particulier aux Lofoten et au Spitzberg, mais aussi dans des mers plus chaudes comme à Oman où il a été « consultant kayak » pour le Raid Gauloise en 1992.
Il a obtenu de nombreuses récompenses, dont le prix France Inter, Fuji, VSD, etc. pour ses aventures en kayak.

Depuis 1997, il accompagne des groupes en kayak pour leur faire partager son amour de la nature et des grands espaces.

Aujourd’hui Pierre accompagne nos groupes à Oman, mais aussi au Spitzberg ou aux Lofoten (Norvège)

De l’aventure « sur mesure », au parcours de découverte il saura vous transmettre sa passion.
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Une petite note de nostalgie échappée des archives…
Nous partageons avec vous ce prospectus de l’été 1967 proposant un séjour au Groenland depuis l’Islande.
Pour les curieux il fallait alors payer 185 $ US pour un séjour accompagné de 4 jours à Narssarssuaq depuis Reykjavik… D’autres apprécieront sans doute l’avis important au voyageur : « Il va sans dire que des chaussures à haut talons seraient tout à fait inadéquates pour voyager au Groënland ».

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Le 21 mai 2011

Il semble que l’Islande va encore faire parler d’elle ce printemps ! Les scientifiques Islandais ont notés une forte augmentation de la sismicité sous la calotte glaciaire du Vatnajökull à Grimsvötn aujourd’hui dans l’après midi. Notre base en Islande viens de nous confirmer le début de l’éruption avec un panache de cendres ou de la vapeur atteignant la hauteur de 1,8 km au dessus  du volcan, mais nous attendons plus de détails. L’éruption  semble être localisée au cratère Grímsfjall. Très vite, la sécurité civile devrait s’organiser pour faire face à de possible jokulklaups (crue de la rivière glaciaire liée à la fonte rapide du glacier qui recouvre le volcan) qui risquent d’endommager la route N°1.

La dernière éruption du Grímsvötn date de 2004 mais l’éruption la plus marquante date de 1996. Les jokulklaups avaient alors emportés la route N°1 et plusieurs ponts. En effet, le volcan est situé sous la calotte glaciaire Vatnajökull.

Amis passionnés d’éruptions, contactez nous pour partir dès que possible…. Renseignement voyage « spécial éruption » ici

 

 

Le concours annuel du « The World At Night » (TWAN) récompense les photos de nuit sur des sites remarquables par leur beauté ou leur aspect historique. Près de 240 participants issus de plus de 30 pays ont participé cette année dans les deux catégories : « Beauty of the night sky » pour les œuvres purement esthétiques, et  « Against the Light » traitant de la pollution lumineuse.

Le premier prix dans la catégorie « Beauty of the night sky » a été décerné à Stéphane Vetter pour sa photo « A Starry Night of Iceland » qui présente les aurores boréales et la Voie lactée au-dessus d’un paysage Islandais.

Découvrez sa photo ici

Vous aussi, venez découvrir l’Islande, ses aurores boréales et le lagon de Jokulsarlon.


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L’exploration pétrolière et minière, la pêche et même le tourisme sont à l’ordre du jour de la réunion que regroupent les ministres des affaires étrangères de huit pays riverains de l’Arctique à Nuuk au Groenland.
Américains, canadiens, danois, finlandais, islandais, norvégiens, russes et suédois doivent discuter des règles pour l’exploitation de cette région du globe gravement menacée par le réchauffement climatique et qui suscite notamment, les convoitises des géants pétroliers.
Selon les estimations scientifiques de l’administration américaine, plus du cinquième des ressources de gaz et de pétrole encore non exploitées se trouveraient au nord du cercle polaire arctique.
Dans un premier temps, les ministres devraient signer un accord sur le sauvetage en mer qui définirait des zones de recherches, et qui serait le tout premier accord liant l’ensemble des huit pays autour de la gestion de l’Arctique. Une première pierre ?
L’importance d’une concertation entre ces pays arctiques devient primordiale du fait de la multiplication des voies maritimes ouvertes par la fonte des glaces.
En effet, en  août dernier, un pétrolier russe a ainsi inauguré une nouvelle route nordique vers la Chine, et les croisières touristiques s’approchent de plus en plus du pôle, en particulier autour de l’Alaska.
« Nous savons qu’il y a d’importants dépôts de pétrole, qui étaient difficiles d’accès par le passé et qui vont devenir de plus en plus accessibles », a expliqué M. Steinberg. Ainsi, les Etats-Unis souhaitent discuter de la gestion des marées noires dans l’Arctique, ainsi que des moyens de les éviter.
L’Alaska fournit déjà 10% de la production pétrolière américaine. Mais n’oublions pas le traumatisme écologique qu’a laisser la marée noire de l’Exxon Valdez sur les côtes d’Alaska en 1989. La faune et la flore fragiles des régions arctiques sont très vulnérables aux pollutions diverses, d’où la grande inquiétude des mouvements écologiques et de protection de la nature. Les récentes catastrophes dans le golf du Mexique et au Japon illustrent une fois encore que le risque zéro n’existe pas et que parfois l’avidité énergétique de certaines compagnies peuvent mettre en péril les milieux naturels les plus fragiles…

Retrouvez nos voyages au Groenland

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Des scientifiques anglais conduits par le Dr Travis Horton viennent de publier une étude dans la revue Biology letters des scientifiques de l’Université de Canterbury sur les capacités d’orientations des baleines à bosses lors de leur longue migration. Selon eux, l’orientation solaire et individuelle de chaque mammifère ne suffirait pas à expliquer autant de précision. Ainsi, ils ont utilisé de la technologie satellite afin de suivre 16 baleines à bosses durant leur migration. Un voyage de plusieurs milliers de kilomètres pendant lequel les mammifères parviennent à maintenir une direction rectiligne sans être affectés ni par la météo, ni par les courants océaniques. Ne déviant pas plus d’un degré, les baleines conservent alors le même cap jusqu’à atteindre leur objectif. « Une précision directionnelle aussi remarquable est difficile à expliquer par les modèles d’orientation déjà établis« , ont écrit dans leur publication les chercheurs.

Si de nombreuses découvertes ont été faites sur les baleines, leur mode de communication, leurs chants, etc.  le mystère reste entier quant à leur étonnante précision à se diriger dans les océans. C’est un peu la conclusion de cette étude que de monter qu’il n’existait à ce jour aucune théorie capable d’expliquer les capacités de navigation de ces mammifères marins.

 

 

Retrouvez nos voyages d’observation des baleines en Islande, en Afrique du Sud, au Groenland ou à Hawaii

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