Le 22 mai 2011, l’éruption du volcan Grimsvötn a commencé  à environ 17h30 (19h30 heure française), le 21 mai 2011 selon le New Met Office. Comme à son habitude, l’activité du Grímsvötn a commencé en éruption sous-glaciaire mais a rapidement brisé la glace. À 21:00 (23h00), le panache de l’éruption est monté à une altitude de plus de 65.000 pieds (~ 20 km).

Le nuage de cendres s’étend au-dessus d’une partie de la calotte glaciaire du Vatnajökull mais selon les prévisions, ce nuage de cendre devrait dériver vers le sud-ouest contrairement au prévision d’hier soir. Il est probable que le nuage de cendre ait des répercutions sur le trafic aérien, mais celle-ci devraient être sans commune mesure avec ce que nous avons vécu il y a un an sur l’Eyjafjallajökull.  Toutefois, les autorités ont décidé de fermer l’aéroport international de Keflavik ce matin à partir de 9h30 (11h30 en France), mais tous les avions devant décoller ou atterrir ce matin ont effectué leur rotation normalement (il n’y a pas de vols programmés entre 9h30 et 15h).

Il faut savoir que le Grimsvötn est le volcan islandais le plus actif et a connu de nombreuses éruptions (1996, 1998, 2004), toutefois, il n’avait jusqu’à aujourd’hui jamais perturbé le trafic aérien. Les éruptions de ce volcan sont en général très limitées et plutôt courtes (de une à trois semaines).  Il est probable qu’à court terme seule les lignes intérieurs Reykjavik – Akureyri ou Reykjavik – Egilsstadir soit affectées par la zone d’exclusion aérienne autour du Grimsvötn.

Toutefois, Il faut s’attendre à ce qu’un jokulhaup (lahar – crue de la rivière glaciaire) apparaisse aujourd’hui ou  demain, une fois que l’eau de fonte du glacier aura pu se libérer de la pression exercée par ce dernier. De tels phénomènes sont fréquents quand le Grimsvötn entre en éruption et les infrastructures du sud de l’Islande sont conçues pour y faire face.

Près à partir pour venir voir l’éruption ? Contactez-nous…

Renseignements sur notre voyage « spécial éruption »

Le 21 mai 2011

Il semble que l’Islande va encore faire parler d’elle ce printemps ! Les scientifiques Islandais ont notés une forte augmentation de la sismicité sous la calotte glaciaire du Vatnajökull à Grimsvötn aujourd’hui dans l’après midi. Notre base en Islande viens de nous confirmer le début de l’éruption avec un panache de cendres ou de la vapeur atteignant la hauteur de 1,8 km au dessus  du volcan, mais nous attendons plus de détails. L’éruption  semble être localisée au cratère Grímsfjall. Très vite, la sécurité civile devrait s’organiser pour faire face à de possible jokulklaups (crue de la rivière glaciaire liée à la fonte rapide du glacier qui recouvre le volcan) qui risquent d’endommager la route N°1.

La dernière éruption du Grímsvötn date de 2004 mais l’éruption la plus marquante date de 1996. Les jokulklaups avaient alors emportés la route N°1 et plusieurs ponts. En effet, le volcan est situé sous la calotte glaciaire Vatnajökull.

Amis passionnés d’éruptions, contactez nous pour partir dès que possible…. Renseignement voyage « spécial éruption » ici

 

 

Le concours annuel du « The World At Night » (TWAN) récompense les photos de nuit sur des sites remarquables par leur beauté ou leur aspect historique. Près de 240 participants issus de plus de 30 pays ont participé cette année dans les deux catégories : « Beauty of the night sky » pour les œuvres purement esthétiques, et  « Against the Light » traitant de la pollution lumineuse.

Le premier prix dans la catégorie « Beauty of the night sky » a été décerné à Stéphane Vetter pour sa photo « A Starry Night of Iceland » qui présente les aurores boréales et la Voie lactée au-dessus d’un paysage Islandais.

Découvrez sa photo ici

Vous aussi, venez découvrir l’Islande, ses aurores boréales et le lagon de Jokulsarlon.


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Une exposition de photographies de Karl Christian Nielsen (1895-1951) s’est ouverte au Musée de la Photographie de Reykjavík le 14 mai, à l’occasionu 30ème anniversaire du musée.
Nielsen est né à Hverfisgata et a grandi dans la vieille ville à l’Est de Reykjavík. De 1914 à 1916 il a travaillé et étudié la photographie dans l’atelier de Carl Ólafsson sur Laugavegur avant de trouver un emploi comme ouvrier pour la municipalité de Reykjavík.
En dépit de la vie dans la pauvreté, il a réussi à créer une collection impressionnante de photographies illustrant parfaitement la vie quotidienne à Reykjavik au début du 20ème siècle, des classes les plus défavorisées.
L’exposition dure jusqu’au 29 Juin.

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Nos passagers ont eu la chance d’observer une baleine à bosse fort sympathique ! Cette baleine a décidé de se donner en spectacle en ne faisant pas moins de 12 sauts hors de l’eau pour les plus grand bonheur des passagers de la sortie de whale watching. Au plus près, la baleine a « bondi » à moins de 30  mètres du bateau ! Puis, prise d’une certaine curiosité, elle s’est approchée jusqu’à environ 5  mètres pour que chacun des passagers puissent l’observer sous toutes les coutures !

Des photos prisent lors de cette sortie en mer à Husavik sont disponible ici

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L’exploration pétrolière et minière, la pêche et même le tourisme sont à l’ordre du jour de la réunion que regroupent les ministres des affaires étrangères de huit pays riverains de l’Arctique à Nuuk au Groenland.
Américains, canadiens, danois, finlandais, islandais, norvégiens, russes et suédois doivent discuter des règles pour l’exploitation de cette région du globe gravement menacée par le réchauffement climatique et qui suscite notamment, les convoitises des géants pétroliers.
Selon les estimations scientifiques de l’administration américaine, plus du cinquième des ressources de gaz et de pétrole encore non exploitées se trouveraient au nord du cercle polaire arctique.
Dans un premier temps, les ministres devraient signer un accord sur le sauvetage en mer qui définirait des zones de recherches, et qui serait le tout premier accord liant l’ensemble des huit pays autour de la gestion de l’Arctique. Une première pierre ?
L’importance d’une concertation entre ces pays arctiques devient primordiale du fait de la multiplication des voies maritimes ouvertes par la fonte des glaces.
En effet, en  août dernier, un pétrolier russe a ainsi inauguré une nouvelle route nordique vers la Chine, et les croisières touristiques s’approchent de plus en plus du pôle, en particulier autour de l’Alaska.
« Nous savons qu’il y a d’importants dépôts de pétrole, qui étaient difficiles d’accès par le passé et qui vont devenir de plus en plus accessibles », a expliqué M. Steinberg. Ainsi, les Etats-Unis souhaitent discuter de la gestion des marées noires dans l’Arctique, ainsi que des moyens de les éviter.
L’Alaska fournit déjà 10% de la production pétrolière américaine. Mais n’oublions pas le traumatisme écologique qu’a laisser la marée noire de l’Exxon Valdez sur les côtes d’Alaska en 1989. La faune et la flore fragiles des régions arctiques sont très vulnérables aux pollutions diverses, d’où la grande inquiétude des mouvements écologiques et de protection de la nature. Les récentes catastrophes dans le golf du Mexique et au Japon illustrent une fois encore que le risque zéro n’existe pas et que parfois l’avidité énergétique de certaines compagnies peuvent mettre en péril les milieux naturels les plus fragiles…

Retrouvez nos voyages au Groenland

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Des scientifiques anglais conduits par le Dr Travis Horton viennent de publier une étude dans la revue Biology letters des scientifiques de l’Université de Canterbury sur les capacités d’orientations des baleines à bosses lors de leur longue migration. Selon eux, l’orientation solaire et individuelle de chaque mammifère ne suffirait pas à expliquer autant de précision. Ainsi, ils ont utilisé de la technologie satellite afin de suivre 16 baleines à bosses durant leur migration. Un voyage de plusieurs milliers de kilomètres pendant lequel les mammifères parviennent à maintenir une direction rectiligne sans être affectés ni par la météo, ni par les courants océaniques. Ne déviant pas plus d’un degré, les baleines conservent alors le même cap jusqu’à atteindre leur objectif. « Une précision directionnelle aussi remarquable est difficile à expliquer par les modèles d’orientation déjà établis« , ont écrit dans leur publication les chercheurs.

Si de nombreuses découvertes ont été faites sur les baleines, leur mode de communication, leurs chants, etc.  le mystère reste entier quant à leur étonnante précision à se diriger dans les océans. C’est un peu la conclusion de cette étude que de monter qu’il n’existait à ce jour aucune théorie capable d’expliquer les capacités de navigation de ces mammifères marins.

 

 

Retrouvez nos voyages d’observation des baleines en Islande, en Afrique du Sud, au Groenland ou à Hawaii

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