Il semble que l'activité volcanique en cours depuis maintenant 3 mois dans le secteur de l'Holuhraun, en Islande, perde en intensité. Les scientifiques ont en effet déclaré qu'il n'y avait pas eu de changement significatif depuis plusieurs semaines et que tout porte désormais à croire que la lave s'écoule à l'intérieur de canaux fermés. Les données collectées de puis le début de l'activité sismique dans le Bárðarbunga montrent un déclin constant de la force et du nombre de tremblements de terre de forte magnitude. Malgré ce ralentissement, l'activité sismique sur le site reste forte : de nombreux séismes de magnitude supérieure à 4 sont régulièrement détectés par les sismographes. Les mesures GPS relevées près de la partie nord du glacier Vatnajökull montrent un affaissement lent et constant vers le Bárðarbunga, dont la vitesse diminue lentement. La communication avec la station GPS de la caldera du Bárðarbunga n'a pas encore été établie, et étant donnée la météo actuelle, il est peu probable que les scientifiques puissent se rendre sur les lieux dans les prochains jours. La communication sera établie dès que possible. Découvrez notre gamme de séjours en Islande. Accueil 80 Jours Voyages Retour aux actualités
Il semble que l’activité volcanique en cours depuis maintenant 3 mois dans le secteur de l’Holuhraun, en Islande, perde en intensité. Les scientifiques ont en effet déclaré qu’il n’y avait pas eu de changement significatif depuis plusieurs semaines et que tout porte désormais à croire que la lave s’écoule à l’intérieur de canaux fermés.
Le site Iceland Review a mis en ligne une nouvelle vidéo de la fissure éruptive de l'Holuhraun. La lave continue à s'écouler et les scientifiques continuent à observer le phénomène, dont l'activité semble relativement stable ces dernières semaines. Le champ de lave a atteint une superficie de 70 km2, et l'activité sismique sous le volcan Barðarbunga se maintient à un degré élevé. Partez à la découverte des volcans islandais !
Le site Iceland Review a mis en ligne une nouvelle vidéo de la fissure éruptive de l’Holuhraun. La lave continue à s’écouler et les scientifiques continuent à observer le phénomène, dont l’activité semble relativement stable ces dernières semaines. Le champ de lave a atteint une superficie de 70 km2, et l’activité sismique sous le volcan Barðarbunga se maintient à un degré élevé.
L'éruption du mont Ontake, samedi 29 septembre peu avant midi, nous prouve une fois de plus que malgré les progrès de la science et la surveillance constante des volcans, rien ne permet de prédire à coup sûr une éruption volcanique. La preuve la plus flagrante en est que le jour de l'éruption, aucun signe, même le plus minime, n'a poussé les autorités à envisager un quelconque événement : le mont Ontake était classé au niveau 1, soit le plus bas sur l'échelle des risques volcaniques. Le journal Le Monde rapporte que le président de la commission de prédiction de l'activité volcanique a déclaré : "Ce qui s'est passé samedi a dépassé nos moyens actuels d'anticipation." Au moment de l'éruption, environ 300 randonneurs gravissaient le volcan, site sacré du culte shinto mais également destination populaire pour les randonneurs. D'après Setsuya Nakada, sismologue de l'université de Tokyo, on est face à une éruption hydrovolcanique, qui a lieu lorsque le magma rencontre les eaux souterraines ; ces éruptions sont particulièrement soudaines et explosives, et les conditions pour qu'elles arrivent extrêmement difficile à déceler. Rien d'étonnant, donc, à ce que les autorités n'aient rien vu venir. Il y a bien eu, il y a une dizaine de jours, une série de microséismes dans la zone du mont Ontake, détectés par l'agence de météorologie. Le lien avec l'éruption reste cependant bien difficile à établir. La dernière éruption du mont Ontake remonte à 1979, date à laquelle il était considéré comme éteint. En 2007, le volcan avait provoqué une série de séismes. Pendant ce temps, en Islande, les scientifiques continuent jour après jour d'observer l'éruption de l'Holuhraun, mais les seules certitudes concernent les faits objectifs. Différents scénarios sont établis chaque jour, sans que l'on sache lequel se réalisera, ni même si l'un d'entre eux se réalisera
L’éruption du mont Ontake, samedi 29 septembre peu avant midi, nous prouve une fois de plus que malgré les progrès de la science et la surveillance constante des volcans, rien ne permet de prédire à coup sûr une éruption volcanique.
Cela fait aujourd'hui un mois que l'éruption dans l'Holuhraun a commencé, et rien n'indique pour l'instant qu'elle va bientôt s'arrêter. Les environs restent toujours fermés au public, principalement en raison de l'émission de gaz toxiques et du risque toujours présent d'une éventuelle inondation. Il n'est nullement question pour l'instant d'ouvrir l'accès aux touristes ou autres visiteurs. A l'heure qu'il est, l'Holuhraun a crée un impressionnant champ de lave de 44 km2, représentant un demi kilomètre cube en volume. L'éruption la plus récente qui se rapproche le plus de l'Holuhraun en terme de volume est celle de l'Hekla, en 1947, dont le champ de lave a atteint 0,8 km3. Cependant, cette éruption a duré 13 mois, ce qui rend le débit de l'Holuhraun nettement plus élevé. On est loin toutefois de l'éruption du Laki en 1783, qui a produit un volume de 14 km3 de lave. L'éruption du Laki a duré 8 mois et on peut penser qu'elle a changé le cours de l'histoire. Pas seulement parce qu'elle a crée une famine en Islande qui a causé la mort d'un quart de la population, mais aussi parce que cette éruption a eu des conséquences dans tout l'hémisphère nord. Le Laki a modifé le climat de façon significative en Europe pendant plusieurs années. Certains pensent qu'il est en partie responsable de la famine qui a contribué à a révolution française ! L'éruption de l'Holuhraun modifie le paysage et nul ne sait quand elle va s'arrêter ! Découvrez l'Islande avec 80 Jours Voyages Découvrez l'article de JM Bardintzeff sur l'Holuhraun
Cela fait aujourd’hui un mois que l’éruption dans l’Holuhraun a commencé, et rien n’indique pour l’instant qu’elle va bientôt s’arrêter. Les environs restent toujours fermés au public, principalement en raison de l’émission de gaz toxiques et du risque toujours présent d’une éventuelle inondation. Il n’est nullement question pour l’instant d’ouvrir l’accès aux touristes ou autres visiteurs.
Un nouveau volcan islandais au nom plus prononçable que l'Eyjafjallajökull a fait parler de lui ces dernières semaines dans l'Holuhraun : le Barðarbunga. Retour sur les moments forts de l'éruption. 16 août : les premiers signes d'une éventuelle éruption sont donnés par la forte augmentation de l'activité sismique dans le secteur nord du glacier Vatnajökull, le plus grand glacier d'Islande. Pendant plusieurs jours, le niveau d'alerte change régulièrement de couleur, passant de jaune à rouge pour redescendre à orange. Par mesure de sécurité, les accès aux environs du Barðarbunga sont fermés et les touristes présents dans le secteur évacués. Les scientifiques restent les yeux rivés sur les sismographes, certains envisageant la possibilité d'une éruption sous-glaciaire. De leur côté, les médias internationaux imaginent tout de suite un scénario catastrophe, identique à celui de 2010, avec l'émission d'un nuage de cendres et l'interruption du trafic aérien. La sismicité montre rapidement que l’intrusion magmatique se poursuit en direction du nord pour former un dyke d'une longueur estimée à plus de 35 kilomètres. Ce n'est qu'une fois en dehors du glacier que la magma, ayant sans doute trouvé un obstacle lors de sa progression souterraine, va trouver le chemin de la sortie ! 29 août, vers 01h00 du matin : 13 jours après le début de l'augmentation de l'activité sismique, une éruption fissurale commence entre le glacier Dyngjujokull et la caldeira de l'Askja dans le champ de lave de l'Holuhraun. Le niveau d'alerte passe à rouge, pour être rabaissé à orange en fin de journée : l'éruption est mineure et si les accès restent fermés, une émission de cendres est peu probable. Les premières images de l'éruption sont rapidement publiées sur les sites internet. 31 août, vers 05h00 du matin : c'est le début d'un nouvel épisode éruptif, d'une intensité plus importante que le
Un nouveau volcan islandais au nom plus prononçable que l’Eyjafjallajökull a fait parler de lui ces dernières semaines dans l’Holuhraun : le Barðarbunga. Retour sur les moments forts de l’éruption.
16 août : les premiers signes d’une éventuelle éruption sont donnés par la forte augmentation de l’activité sismique dans le secteur nord du glacier Vatnajökull, le plus grand glacier d’Islande. Pendant plusieurs jours, le niveau d’alerte change régulièrement de couleur, passant de jaune à rouge pour redescendre à orange. Par mesure de sécurité, les accès aux environs du Barðarbunga sont fermés et les touristes présents dans le secteur évacués. Les scientifiques restent les yeux rivés sur les sismographes, certains envisageant la possibilité d’une éruption sous-glaciaire. De leur côté, les médias internationaux imaginent tout de suite un scénario catastrophe, identique à celui de 2010, avec l’émission d’un nuage de cendres et l’interruption du trafic aérien.
La sismicité montre rapidement que l’intrusion magmatique se poursuit en direction du nord pour former un dyke d’une longueur estimée à plus de 35 kilomètres. Ce n’est qu’une fois en dehors du glacier que la magma, ayant sans doute trouvé un obstacle lors de sa progression souterraine, va trouver le chemin de la sortie !
29 août, vers 01h00 du matin : 13 jours après le début de l’augmentation de l’activité sismique, une éruption fissurale commence entre le glacier Dyngjujokull et la caldeira de l’Askja dans le champ de lave de l’Holuhraun. Le niveau d’alerte passe à rouge, pour être rabaissé à orange en fin de journée : l’éruption est mineure et si les accès restent fermés, une émission de cendres est peu probable. Les premières images de l’éruption sont rapidement publiées sur les sites internet.
31 août, vers 05h00 du matin : c’est le début d’un nouvel épisode éruptif, d’une intensité plus importante que le premier. L’activité sismique varie chaque jour dans la région, toujours surveillée d’aussi près. Seuls les scientifiques et les journalistes sont autorisés à se rendre sur le lieu de l’éruption depuis le début de l’activité. Tous les scénarios possibles sont envisagés, mais il reste toujours aussi difficile de prévoir avec certitude la suite des événements. La crainte majeure est celle d’une inondation de la rivière Jokulsá á Fjöllum.
3 septembre : les scientifiques et journalistes doivent regagner leur camp de base à Dregakil. Par mesure de sécurité, l’accès au site de l’éruption leur est interdit pendant 24h.
8 septembre : la lave atteint la rivière Jokulsá á Fjöllum et la recouvre en partie.
Un communiqué d'hier soir annonce que la lave de l'Holuhraun a désormais atteint la rivière Jökulsá á Fjöllum et la recouvre à moitié. Lorsque de la lave coule sur de l'eau, il se forme parfois ce que l'on appelle des pseudos-cratères. Ils sont formés par des explosions de vapeur lorsque la lave chaude recouvre une surface humide, comme un marécage, un lac ou un étang. Les gaz explosifs percent la surface de la lave, de la même façon que lors d'une éruption phréatique, et les tephras s'accumulent en formant des cratères, qui peuvent paraître très similaires à de véritables cratères. Les pseudos-cratères sont très communs en Islande. Pour l'instant, aucun pseudo-cratère ne s'est formé mais ils apparaîtront peut-être plus tard. La lave pourrait bloquer la rivière, déplaçant son lit plus loin vers l'est. La nouvelle fissure au sud de l'Holuhraun n'émet plus de lave. Nous vous tenons informés en cas de possibilité d'accès au site et de départ imminent. Découvrez l'article de JM Bardintzeff sur l'Holuhraun Découvrez nos voyages en Islande https://www.youtube.com/watch?v=BsPoWgK-hsA&t=26s
Un communiqué d’hier soir annonce que la lave de l’Holuhraun a désormais atteint la rivière Jökulsá á Fjöllum et la recouvre à moitié.
Lorsque de la lave coule sur de l’eau, il se forme parfois ce que l’on appelle des pseudos-cratères. Ils sont formés par des explosions de vapeur lorsque la lave chaude recouvre une surface humide, comme un marécage, un lac ou un étang. Les gaz explosifs percent la surface de la lave, de la même façon que lors d’une éruption phréatique, et les tephras s’accumulent en formant des cratères, qui peuvent paraître très similaires à de véritables cratères. Les pseudos-cratères sont très communs en Islande.
Pour l’instant, aucun pseudo-cratère ne s’est formé mais ils apparaîtront peut-être plus tard. La lave pourrait bloquer la rivière, déplaçant son lit plus loin vers l’est.
La nouvelle fissure au sud de l’Holuhraun n’émet plus de lave.
Nous vous tenons informés en cas de possibilité d’accès au site et de départ imminent.
Les scientifiques sont toujours sur le qui-vive sur le site de l'éruption dans l'Holuhraun en Islande, mais il reste toujours aussi difficile d'expliquer et d'analyser les événements. Dans la journée d'hier, mercredi 3 septembre, une partie des routes situées au nord du glacier Vatnajökull ont été fermées aux scientifiques et aux journalistes autorisés. L'accès étant déjà interdit aux autres véhicules comme aux randonneurs. Les scientifiques ont dû se rapatrier vers leur camp de base de Drekagil pour des raisons de sécurité. En effet, la possibilité d'une éruption sub-glaciaire entraînant une inondation de la rivière Jökulsá á Fjöllum existe toujours. Les dernières mesures montrent que la pression dans le dyke au nord du Dyngjujökull augmente et qu'une dépression d'1 km de large s'est formée sous le glacier. Elle est si profonde qu'elle apparaît sous la calotte glaciaire et brise la bordure du glacier. Ce serait le sol, et non le glacier, qui serait en train de s'affaisser. D'après les scientifiques, la fissure volcanique pourrait s'étendre vers le sud et sous le glacier. Si le magma remonte sous le glacier, cela entraînera un risque d'inondation, d'explosion et d'émission de cendres. Hier soir, le site de l'éruption était toujours fermé. En attendant de nouvelles images de l'éruption, profitez de la vidéo de notre séjour d'observation des aurores boréales au mois de Novembre. Découvrez nos voyages en Islande. Découvrez l'article de JM Bardintzeff sur l'Holuhraun.
Les scientifiques sont toujours sur le qui-vive sur le site de l’éruption dans l’Holuhraun en Islande, mais il reste toujours aussi difficile d’expliquer et d’analyser les événements. Dans la journée d’hier, mercredi 3 septembre, une partie des routes situées au nord du glacier Vatnajökull ont été fermées aux scientifiques et aux journalistes autorisés. L’accès étant déjà interdit aux autres véhicules comme aux randonneurs. Les scientifiques ont dû se rapatrier vers leur camp de base de Drekagil pour des raisons de sécurité. En effet, la possibilité d’une éruption sub-glaciaire entraînant une inondation de la rivière Jökulsá á Fjöllum existe toujours.
Les dernières mesures montrent que la pression dans le dyke au nord du Dyngjujökull augmente et qu’une dépression d’1 km de large s’est formée sous le glacier. Elle est si profonde qu’elle apparaît sous la calotte glaciaire et brise la bordure du glacier. Ce serait le sol, et non le glacier, qui serait en train de s’affaisser. D’après les scientifiques, la fissure volcanique pourrait s’étendre vers le sud et sous le glacier. Si le magma remonte sous le glacier, cela entraînera un risque d’inondation, d’explosion et d’émission de cendres.
Hier soir, le site de l’éruption était toujours fermé.
En attendant de nouvelles images de l’éruption, profitez de la vidéo de notre séjour d’observation des aurores boréales au mois de Novembre.
La lave continue de couler après l'éruption qui a eu lieu hier matin dans l'Holuhraun en Islande. Le Bárðarbunga a été touché par deux séismes cette nuit, de magnitude 3,9 et 4,2. Cette seconde éruption est beaucoup plus importante que celle de vendredi matin, mais sa nature ne la rend pas menaçante pour le trafic aérien. L'éruption émet principalement du basalte, et pas du tout de cendres, comme cela s'était produit en 2010 lors du réveil de l'Eyjafjallajökull. Le débit de la lave serait proche de 1 000 m3 par seconde, et selon certains scientifiques, l'éruption pourrait durer très longtemps. Cette éruption montre bien à quel point il est difficile de faire des pronostics dans ce genre de situation. Depuis le début de l'activité sismique et les premières dépêches à propos d'une possible éruption (et surtout d'une éventuelle paralysie du trafic aérien), on constate qu'en dehors de surveiller de très près les événements, il est impossible de savoir exactement ce qui va se passer. Chaque analyse offre plusieurs scénarios, aucune hypothèse ne pouvant être affirmée. Il est particulièrement intéressant de constater que l'éruption de la nuit dernière s'est produite alors qu'aucune activité sismique n'avait été enregistrée dans le secteur. La principale question que beaucoup se posent aujourd'hui, c'est ce qu'il va advenir du dyke, et comment va évoluer la sismicité qui l'entoure. Comme l'explique Claude Granpey, "après l’éruption éclair du 29 août, la sismicité semblait montrer un retour en arrière du magma le long de l’intrusion, ce qui a poussé certains à affirmer qu’il y avait à nouveau un risque d’éruption sous le glacier Dingjujökull. A l’heure actuelle, une telle éventualité ne s’est pas vérifiée et la sismicité a tendance à décliner, peut-être suite à l’évacuation de la pression au niveau de l’éruption fissurale." Nous ne nous prononcerons pas sur
La lave continue de couler après l’éruption qui a eu lieu hier matin dans l’Holuhraun en Islande. Le Bárðarbunga a été touché par deux séismes cette nuit, de magnitude 3,9 et 4,2. Cette seconde éruption est beaucoup plus importante que celle de vendredi matin, mais sa nature ne la rend pas menaçante pour le trafic aérien. L’éruption émet principalement du basalte, et pas du tout de cendres, comme cela s’était produit en 2010 lors du réveil de l’Eyjafjallajökull.
La webcam du Bárðarbunga montre qu'un nouvel épisode éruptif a commencé ce matin vers 5h sur le site d'Holuhraun. L'éruption est sur la même fissure que précédemment mais serait d'une intensité plus importante. Le lieu correspond à la partie active du dyke à environ 4km au sud de la langue glaciaire de Dyngjujökull. D'après le volcanologue Ármann Höskuldsson, la zone active serait d'1,5km le long de la fissure comme le montrent les images de la webcam. La mauvaise météo rend difficile les observations avec la webcam.... A suivre ! Photo webcam - source Iceland Review Découvrez nos voyages en Islande Découvrez l'article de JM Bardintzeff https://www.youtube.com/watch?v=BsPoWgK-hsA&t=26s
La webcam du Bárðarbunga montre qu’un nouvel épisode éruptif a commencé ce matin vers 5h sur le site d’Holuhraun. L’éruption est sur la même fissure que précédemment mais serait d’une intensité plus importante. Le lieu correspond à la partie active du dyke à environ 4km au sud de la langue glaciaire de Dyngjujökull.
D’après le volcanologue Ármann Höskuldsson, la zone active serait d’1,5km le long de la fissure comme le montrent les images de la webcam.
La mauvaise météo rend difficile les observations avec la webcam…. A suivre !
Le journaliste et pilote Ómar Ragnarsson a survolé l'éruption et le champ de lave de Holuhraun, au nord du glacier Dyngjujökull, ce matin. A noter que les fontaines de lave ne sont plus visibles et que les panaches qui s’échappent de la fissure sont très blancs, ce qui confirme l'absence de cendres. Les images sont visibles ici, ainsi que des photos. Découvrez no voyages en Islande.
Le journaliste et pilote Ómar Ragnarsson a survolé l’éruption et le champ de lave de Holuhraun, au nord du glacier Dyngjujökull, ce matin.
A noter que les fontaines de lave ne sont plus visibles et que les panaches qui s’échappent de la fissure sont très blancs, ce qui confirme l’absence de cendres.
Les images sont visibles ici, ainsi que des photos.
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