Des chercheurs espagnols ont publié dans la revue Nautilus la découverte par 600 mètres de fond dans l’océan Antarctique d’une nouvelle espèce de mollusque.
“Ce genre appartient à un groupe dont nous savons très peu de choses, et comprenant 14 espèces dont très peu de spécimens ont été trouvés. Nous avons fait la description de cette espèce à partir de la coquille, étant donné qu’aucun tissu mou n’a été trouvé dans cet unique spécimen collecté », a expliqué Cristian Aldea. Le mollusque mesure 14 mm, beaucoup plus que ses cousins des eaux tropicales.

Nos voyages en antarctique

LIRE TOUTES NOS NEWSLETTERS

L’orque ou la « baleine tueuse » (killer whale en anglais) est réputée pour être la plus agressive des baleines à dents. Mais il existe plusieurs types de ces mammifères marins, des groupes qui présentent un comportement différent et surtout une alimentation différente.
Des recherches scientifiques américaines ont montré que les orques qui vivent au large des côtes de Colombie-Biritanique ne se nourriraient pas de saumons et de lions de mer comme leurs congénères plus proches des côtes mais plutôt de requins, plus précisément de requins dormeurs.
Plus au nord, en Alaska ou au large de Vancouvert, certaines colonies avaient déjà été observées en train de se nourrir de requins bleus…
Cette espèce de baleine présente des comportements alimentaires très variés en fonction de la colonie, du lieu de vie et des circonstances.

Venez avec nous observer les orques se nourrir de lions de mer… sur les plages de Valdez en Patagonie

On connaissait la pierre ponce pour se débarrasser des peaux mortes, mais il semble que ce soit aussi un creuset pour l’apparition de la vie !?
D’origine volcanique, elle flotte sur l’eau grâce à sa faible densité, fixe les métaux et les composés organiques et phosphatés, et accueille volontiers les biocatalyseurs (molécules organiques qui favorisent les réactions chimiques). D’après la revue scientifique Astrobiology elle pourrait jouer un rôle crucial dans l’apparition de la vie sur Terre, il y a environ 4 milliards d’années.
« Une pierre ponce est potentiellement exposée à (…) la foudre associée à des éruptions volcaniques, aux hydrocarbures et aux métaux produits par les sources hydrothermales et aux rayons ultraviolets du Soleil. Toutes ces conditions ont le potentiel d’accueillir, ou même de générer, les genres de processus chimiques que nous pensons avoir créé les premières cellules vivantes », résume le chercheur Martin Brasier.

Photo : champs de ponces dans la région d’Askja (Islande)

Découvrez nos séjours en Islande