Une drôle de question que l’on peut lire sur le site Iceland Review Online ! L’article précise qu’il existe des preuves d’une éruption volcanique sous-marine au large de la côte nord de l’Islande, entre les îles Grimsey et Kolbeinsey. Les scientifiques auraient retrouvé des morceaux de lave fraîche venant du fond des océans, à environ 50 km de Grimsey. D’après les géophysiciens Bryndis Brandsdottir et Pall Einarsson, ces échantillons de lave auraient à peine quelques mois ! Des analyses plus poussées permettront de confirmer cette hypothèse.

Les fonds sous-marins au large de la côte nord islandaise sont très étudiés depuis maintenant 12 ans. Diverses recherches ont notamment permis de découvrir de nouveaux volcans sous-marins, et les nombreux tremblements de terre de ces 10 dernières années rendent l’hypothèse de cette éruption sous-marine tout à fait crédible.

(Illustration : manifestation phréatique à Kleifarvatn – Islande)

Une série de 6 documentaires sur les pays de Scandinavie, à voir sur Arte +7 ou en rediffusion dans les semaines à venir. Suède, Islande, Groenland, Finlande, Norvège et Danemark sont ainsi à l’honneur, non pas pour leurs peuples ou leurs cultures mais pour leur faune et leur flore. Découvrez de somptueuses images de renards polaires, ours bruns, bœufs musqués, et des paysages à couper le souffle !

Scandinavie sauvage, sur Arte.

La vidéo a été postée sur le site du Monde : une aurore boréale a pu être observée dans le ciel du Minnesota, mardi 1er Octobre. Un endroit inhabituel, bien en-dessous du cercle polaire, pour un spectacle grandiose ! Visionnez la video sur le site du Monde.

Décidément, l’éruption de l’Eyjafjöll en Islande en mars 2010 a des conséquences inattendues… elle sert en effet de prétexte au nouveau film de Alexandre Coffre, dont la filmographie semble faite de comédies plutôt grasses et peu subtiles, mais reconnaissons que nous n’en avons vu aucune… et laissons-lui le bénéfice du doute. Etant donnés la bande-annonce et le pitch, il semble donc que l’éruption du volcan islandais oblige un couple divorcé à prendre la route ensemble pour assister au mariage de leur fille en Grèce. Gageons donc qu’aucune image de l’ Islande ne sera visible dans le film et que de ce petit pays, les spectateurs n’apprendront rien, si ce n’est qu’il s’y trouve des volcans aux noms imprononçables. Rappelons d’ailleurs qu’Eyjafjallajökull est le nom de la calotte glaciaire qui recouvre le volcan Eyjafjöll… au nom pas si imprononçable que ça !

80 Jours Voyages est fière de présenter le travail photographique de ses clients. Ainsi Denis Bécaud et Stéphane Chopin, photographes amateurs, ont ramené de leurs voyages aux Açores eten Islande de superbes clichés mettant particulièrement bien en valeur ces lieux qui nous sont chers. Allez donc visiter le site de Denis Bécaud, où vous trouverez, outre son travail aux Açores, les albums de nombreux autres pays ! Puis admirez les deux photos de Stéphane Chopin récompensées par la Fédération Nationale de Photographie lors du concours Nationale Nature 2013, récompense hautement méritée vu la qualité des clichés proposés ! ( les photos de Stéphane sont les quatrième et cinquième, intitulées « un glaçon islandais » et « collines bariolées ». )

Toujours dans la catégorie des photos primées, et même si ce n’est que par un forum de photographes amateurs, c’est cette fois un cliché pris par un membre de notre équipe qui est à l’honneur. Lors d’un voyage hivernal en Islande, dans la tempête de neige de Thingvellir, Clara Salducci a pris une photo qui a fini 3ème à un concours sur le thème de l’angoisse…

La communauté des astronomes laisse entendre que la comète ISON pourrait être la comète de l’année. Grâce à son télescope Hubble, la NASA a pris une photo de la comète ISON dans la nuit du 10 au 11 avril qui montre que celle-ci accroît son activité. Les scientifiques ont observé que la comète possède un noyau de taille étonnement petite (moins de 6 kilomètres) alors que la taille de la queue est proche des 3700 km. Mais ce qui intéresse le plus les astronomes est l’extrême brillance qui la caractérise et qui devrait augmenter lorsque la comète approchera du Soleil. Elle pourrait devenir la plus brillante des comètes, rivalisant alors avec la pleine lune, au dire de certains.

Prochainement dans notre système solaire, il serait possible de l’observer dans l’hémisphère nord en novembre / décembre 2013. Si les calculs des scientifiques se révèlent exacts, ce pic de luminosité sera atteint le 29 novembre 2013.

Elle serait alors à 634 millions de kilomètres de la Terre et 621 millions de kilomètres du Soleil. Toutefois, le risque que la comète se désintègre lors de son passage à proximité du soleil n’est pas nul, mais les scientifiques pensent qu’en l’état actuel des observations, l’hypothèse plus séduisante d’un passage éblouissant est loin d’être improbable.

C’est pourquoi nous organisons un séjour d’observation des aurores boréales, et nous l’espérons de la comète du 23/11 au 01/12 en plein cœur de l’Islande où nous avons, pour l’occasion, privatisé un refuge de montagne à plus de 100 km de la première habitation ! Au-delà de la situation géographique favorable à l’observation, nous pourrons chaque jour profiter du confort d’une rivière d’eau chaude (38/40°C) et de nombreuses manifestations géothermiques présentes sur le site (sources chaudes, mofette, etc.) Nous espérons ainsi pouvoir observer (et photographier) conjointement la comète et des aurores comme nous avons pu le faire au mois de mars avec la comète PANSTARRS (photos ci-dessous)

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Hiver 1984, un chalutier fait naufrage au large des îles Vestmann, au sud de l’Islande. Un seul homme de l’équipage survit, malgré les températures glaciales de l’air et de l’eau. Après 6 heures de nage en pleine nuit, il atteint les côtes et marche encore 2 heures avant d’atteindre la première habitation. Tiré d’une histoire vraie, le film de Baltasar Kormakur retrace l’histoire incroyable de ce pêcheur qui a vu sa vie changer après cet événement hors du commun.

A mille lieues du cinéma sensationnel hollywoodien, Baltasard Kormakur signe un film à la fois sobre mais impressionnant, racontant une histoire extraordinaire sans jamais tomber dans la surenchère d’effets spéciaux. C’est l’occasion pour le spectateur d’en apprendre un peu plus sur le pays, sur les conditions de vie des pêcheurs et sur les îles Vestmann.

Balatsar Kormakur avait auparavant adapté  le célèbre roman d’Arnaldur Indridason, « La cité des Jarres » (sorti en France en 2006 ).

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Deux géologues russes ont essayé de comprendre le fonctionnement des geysers en introduisant une caméra très robuste à l’intérieur des conduits de six d’entre eux dans la célèbre Vallée des Geysers au Kamtchatka.

Les vidéos ainsi obtenues, complétées par l’étude des roches autour d’anciens geysers aujourd’hui inactifs, ont révélé que les geysers du Kamtchatka ne sont pas alimentés par l’intermédiaire de conduits longs et étroits, comme on le pensait jusqu’à présent. Au lieu de cela, des pièges à bulles se forment à l’intérieur de l’amas de blocs qui se sont accumulés pendant des glissements de terrain.

La caméra spécialement conçue pour ce travail de recherche était capable de résister à l’eau bouillante et aux violentes explosions de vapeur à l’intérieur d’un geyser. Au cours de trois visites dans la Vallée des Geysers, la caméra a doucement été descendue dans les conduits à l’aide d’un câble en acier ou d’une tige souple afin de filmer les éruptions.

La vidéo disponible ici n’est pas particulièrement esthétique mais apporte quelques images intéressantes et montre des blocs avec des bulles qui s’élèvent lorsque le geyser est en phase de repos, puis des explosions de vapeur pendant les jaillissements.

Peu de temps après que les chercheurs ont commencé leur travail, un important glissement de terrain s’est produit dans la Vallée, de sorte que l’intérieur de certains geysers inactifs est apparu au grand jour, trahissant leur système d’alimentation. Pour qu’un geyser se forme, il faut une source de chaleur d’origine volcanique, une nappe phréatique avec de l’eau en abondance, des espaces dans les roches qui la surmontent pour que l’eau puisse s’échapper, ainsi qu’un système d’emprisonnement des bulles.

L’eau bouillante qui s’élève des profondeurs dans un système hydrothermal contient toujours des bulles de vapeur. En s’élevant, cette eau rencontre un piège à bulles où ces dernières s’accumulent jusqu’au moment où la vapeur trouve assez de force pour déplacer la colonne d’eau qui la surmonte et déclenche l’éruption du geyser.

La vitesse d’accumulation des bulles dans un piège et la géométrie du conduit du geyser affectent le temps qui s’écoule entre les éruptions. Si le piégeage des bulles est lent, le laps de temps entre les jaillissements sera plus long.

Le geyser « Strokur » en Islande présente deux avantages importants par rapport à ceux du Kamtchatka ou de Yellowstone. D’une part, l’Islande n’est qu’à 3h30 d’avion de Paris et d’autre part le geyser jaillit toutes les 5 à 10 min ce qui facilite largement les observations et les photographies !

Peut être que les scientifique russes prêteront leur caméra aux Islandais pour que nous puissions également découvrir l’intérieur du geyser « Strokur », et pourquoi pas de son voisin inactif « Geysir », qui a donné son nom au phénomène géologique !

N’hésitez pas à partir découvrir les geysers d’Islande lors de nos voyages en Islande.

Source: Live Science / Blog de C. Grandpey

 

A l’occasion du festival Air d’Islande, malheureusement réservé aux parisiens, la radio met à l’honneur Reykjavik dans son émission « Ville-Monde ». Deux émissions, dont l’une est disponible en podcast, et la prochaine sera diffusée dimanche 10 février 2013 à 15h, sont consacrées à la capitale la plus septentrionale au monde. Une bonne opportunité pour découvrir cette ville énergique, faire un point sur son histoire, rencontrer ses habitants.

Découvrez tous nos voyages en Islande, seul ou accompagné, en hiver comme en été !

La National Land Survey Of Iceland vient de mettre en ligne 555 photos historiques, prises entre 1900 et 1910 en Islande. Des clichés en noir et blanc témoignant des conditions de vie d’il y a 100 ans, bien différentes de celles d’aujourd’hui ! C’est un formidable voyage dans le temps que nous offre la mise en ligne de ces photos, à découvrir ici.

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