Le volcan Sakurajima domine la baie de Kagoshima, donnant à la ville son surnom de « Naples du Japon ». Au Japon, la montagne est considérée comme l’au-delà. Historiquement, c’était le domaine des Satsuma, le clan qui contribua à renverser le shogunat (le dirigeant) en 1867. Le plus célèbre héros de la ville est Saigo Takamori : ayant combattu avec succès pour évincer l’ancien régime, il changea ensuite d’avis et trouva la mort au château de Kumamoto durant le révolte de Satsuma dont il fut l’instigateur en 1877. Source: Japon – National Geographic 2018
Le volcan Sakurajima domine la baie de Kagoshima, donnant à la ville son surnom de « Naples du Japon ». Au Japon, la montagne est considérée comme l’au-delà.
Historiquement, c’était le domaine des Satsuma, le clan qui contribua à renverser le shogunat (le dirigeant) en 1867. Le plus célèbre héros de la ville est Saigo Takamori : ayant combattu avec succès pour évincer l’ancien régime, il changea ensuite d’avis et trouva la mort au château de Kumamoto durant le révolte de Satsuma dont il fut l’instigateur en 1877.
Alors que Sylvain CHERMETTE (80 Jours Voyages) fait ce soir même une présentation à la SVG (Société de Volcanologie - Genève) sur les volcans de Kyushu au Sud du Japon, le mont ASO, l'un des plus actif de cette région s'est réveillé ! Les premières images de l'éruption du 14/09/2015 : Les images impressionantes de l'éruption du... par LeHuffPost Découvrez nos voyages en ASIE !
Alors que Sylvain CHERMETTE (80 Jours Voyages) fait ce soir même une présentation à la SVG (Société de Volcanologie – Genève) sur les volcans de Kyushu au Sud du Japon, le mont ASO, l’un des plus actif de cette région s’est réveillé !
Les premières images de l’éruption du 14/09/2015 :
Le Mont Aso, situé au sud-ouest du Japon, est entré en éruption mardi 25 novembre. Le lendemain, mercredi 26 novembre, le volcan a commencé à cracher des cendres jusqu'à 1 000 mètres de haut. Le volcan, situé dans la préfecture de Kumamoto, sur l'île de Kyushu, fait partie des 47 volcans sous surveillance sur les 110 volcans actifs que compte le Japon. Jeudi 27 novembre, le volcan était en alerte 2 (sur une échelle de 5), ce qui signifie qu'il est interdit de s'approcher à moins d'un mètre du cratère. L'activité volcanique rend en effet possible et dangereuse la chute de pierres dans ce périmètre. Le trafic aérien est perturbé par l'éruption ; la plupart des vols au départ de l'aéroport de Kumamoto ont dû être annulés. Découvrez nos voyages en Asie
Le Mont Aso, situé au sud-ouest du Japon, est entré en éruption mardi 25 novembre. Le lendemain, mercredi 26 novembre, le volcan a commencé à cracher des cendres jusqu’à 1 000 mètres de haut.
L'éruption du mont Ontake, samedi 29 septembre peu avant midi, nous prouve une fois de plus que malgré les progrès de la science et la surveillance constante des volcans, rien ne permet de prédire à coup sûr une éruption volcanique. La preuve la plus flagrante en est que le jour de l'éruption, aucun signe, même le plus minime, n'a poussé les autorités à envisager un quelconque événement : le mont Ontake était classé au niveau 1, soit le plus bas sur l'échelle des risques volcaniques. Le journal Le Monde rapporte que le président de la commission de prédiction de l'activité volcanique a déclaré : "Ce qui s'est passé samedi a dépassé nos moyens actuels d'anticipation." Au moment de l'éruption, environ 300 randonneurs gravissaient le volcan, site sacré du culte shinto mais également destination populaire pour les randonneurs. D'après Setsuya Nakada, sismologue de l'université de Tokyo, on est face à une éruption hydrovolcanique, qui a lieu lorsque le magma rencontre les eaux souterraines ; ces éruptions sont particulièrement soudaines et explosives, et les conditions pour qu'elles arrivent extrêmement difficile à déceler. Rien d'étonnant, donc, à ce que les autorités n'aient rien vu venir. Il y a bien eu, il y a une dizaine de jours, une série de microséismes dans la zone du mont Ontake, détectés par l'agence de météorologie. Le lien avec l'éruption reste cependant bien difficile à établir. La dernière éruption du mont Ontake remonte à 1979, date à laquelle il était considéré comme éteint. En 2007, le volcan avait provoqué une série de séismes. Pendant ce temps, en Islande, les scientifiques continuent jour après jour d'observer l'éruption de l'Holuhraun, mais les seules certitudes concernent les faits objectifs. Différents scénarios sont établis chaque jour, sans que l'on sache lequel se réalisera, ni même si l'un d'entre eux se réalisera
L’éruption du mont Ontake, samedi 29 septembre peu avant midi, nous prouve une fois de plus que malgré les progrès de la science et la surveillance constante des volcans, rien ne permet de prédire à coup sûr une éruption volcanique.
Apparue subitement en novembre 2013 au large des côtes japonaises, l'île continue depuis sans cesse de grandir : elle mesure aujourd'hui 1 550 m d'est en ouest et 1 350 m du nord au sud. Quelques jours après sa formation, elle mesurait 400 m de long pour 200 m de large. Les dernières images tournées par la NHK montrent une activité volcanique intense, ce qui laisse supposer que l'île, qui a désormais rejoint celle inhabitée de Nishinoshima, va continuer à voir sa superficie augmenter. Sur les trois cratères visibles, deux produisent régulièrement de la lave et le nuage de poussière s'élève désormais à plus de 2 000 m de hauteur, trois fois plus haut que le mois dernier. Depuis la fin de la guerre du Pacifique, 4 à 5 nouvelles îles ont été dénombrées, la dernière datant de 1986 ; cependant, celle-ci avait disparu en deux mois Accueil 80 Jours Voyages Retour aux actualités photo du 23 juillet 2014 - Japan Coast Guard / AFP
Apparue subitement en novembre 2013 au large des côtes japonaises, l’île continue depuis sans cesse de grandir : elle mesure aujourd’hui 1 550 m d’est en ouest et 1 350 m du nord au sud. Quelques jours après sa formation, elle mesurait 400 m de long pour 200 m de large.
En mars dernier, suite à la décision de la Cour Internationale de Justice à Tokyo, le Japon avait déclaré accepter d'interrompre sa campagne de chasse à la baleine en Antarctique. La CIJ de La Haye avait en effet estimé que le pays déguisait une chasse commerciale en campagne d'études scientifique et donc demandé au gouvernement japonais de cesser cette activité. Mais ce 9 juin, le premier ministre japonais a déclaré que son "objectif est la reprise de la chasse commerciale par le biais de recherches sur les cétacés afin d'avoir les données scientifiques nécessaires à la gestion des ressources baleinières". Selon le ministre de l'agriculture et de la pêche, Yoshimasa Hayashi, le commerce de viande de baleine "ne viole en rien la loi internationale ou nationale". Le Japon a annulé sa campagne 2014-2015 en Antarctique, mais déclaré ensuite vouloir revoir son programme scientifique pour le soumettre à la CBI cet automne. Les activités de chasse se poursuivent toujours dans le Pacifique nord-ouest, officiellement pour des raisons scientifiques, et dans les eaux japonaises, qui n'étaient pas concernées par le moratoire de 1986. D'après un récent sondage, 60% des japonais seraient favorables à la poursuite de la chasse à la baleine, alors que sa consommation continue à diminuer. Découvrez différentes destination pour observer les baleines et d'autres cétacés : les Açores, l'Islande, la Patagonie Découvrez le blog de JM Bardintzeff
En mars dernier, suite à la décision de la Cour Internationale de Justice à Tokyo, le Japon avait déclaré accepter d’interrompre sa campagne de chasse à la baleine en Antarctique. La CIJ de La Haye avait en effet estimé que le pays déguisait une chasse commerciale en campagne d’études scientifique et donc demandé au gouvernement japonais de cesser cette activité.
La décision de la Cour Internationale de Justice a été prise lundi 31 mars : le Japon doit cesser toute activité de chasse à la baleine en Antarctique. Bien que déçu, le gouvernement japonais a déclaré qu'il respecterait cette injonction. C'est l'Australie qui avait saisi la justice en 2010, arguant que le Japon pratiquait la chasse à la baleine dans un but commercial et non scientifique. Le programme scientifique japonais JARPA II manque de transparence dans l'établissement de quotas non raisonnables, et le nombre restreint de publication scientifiques est vivement critiqué par la Cour de Justice. L'Australie accuse le Japon d'avoir tué plus de 10 000 baleines entre 1987 et 2009, en majorité des petits rorquals. Pour les protecteurs des animaux, il fat désormais s'attaquer à la chasse à la baleine que les japonais pratiquent dans le Pacifique Nord. Les militants de Sea Sheperd, qui cumulent les actions contre les navires de pêche japonais, précisent que le combat continue. Il suffit que le Japon présente un programme scientifique plus argumenté pour se voir à nouveau autorisé à pratiquer la chasse. Pour l'association écologiste, d'autres combats restent encore à mener, contre la chasse au requin par exemple, mais aussi contre la Norvège et l'Islande, seuls pays aujourd'hui à pratiquer la chasse à la baleine à des fins commerciales. Découvrez nos voyages d'observation des cétacés aux Açores et nos voyages en Antarctique Découvrez le blog de JM Bardintzeff
La décision de la Cour Internationale de Justice a été prise lundi 31 mars : le Japon doit cesser toute activité de chasse à la baleine en Antarctique. Bien que déçu, le gouvernement japonais a déclaré qu’il respecterait cette injonction. C’est l’Australie qui avait saisi la justice en 2010, arguant que le Japon pratiquait la chasse à la baleine dans un but commercial et non scientifique. Le programme scientifique japonais JARPA II manque de transparence dans l’établissement de quotas non raisonnables, et le nombre restreint de publication scientifiques est vivement critiqué par la Cour de Justice. L’Australie accuse le Japon d’avoir tué plus de 10 000 baleines entre 1987 et 2009, en majorité des petits rorquals.
Certains pensaient qu'elle disparaîtrait aussi vite qu'elle était apparue, il n'en est rien ! Niijima, l'île à laquelle le gouvernement japonais a finalement donné un nom, continue sa croissance, et est en train de former une seule grande île avec sa voisine Nishinoshima. Depuis son apparition en novembre dernier, suite à une éruption sous-marine, l'île a quasiment triplé de surface : elle mesure aujourd'hui 450 mètres sur 500 ; l'activité volcanique y est toujours intense : d'après les gardes-côtes, "Des éruptions ont lieu à une fréquence de 30 secondes à une minute avec des projections s'élevant à une centaine de mètres". Il est donc très probable que l'île continue de grandir. Découvrez nos voyages en Asie
Certains pensaient qu’elle disparaîtrait aussi vite qu’elle était apparue, il n’en est rien ! Niijima, l’île à laquelle le gouvernement japonais a finalement donné un nom, continue sa croissance, et est en train de former une seule grande île avec sa voisine Nishinoshima.
L'île apparue au large du Japon en novembre dernier nous donne l'occasion de revenir sur ce type de phénomènes, nommés éruptions surtseyennes depuis l'apparition de l'île de Surtsey, au large de l'Islande, en 1963. Ce type d'éruption est caractéristique de l'interaction entre du magma brûlant et une grande quantité d'eau de mer ou d'un lac. Cependant pour qu'un tel phénomène puisse se produire il faut une faible profondeur d'eau, car une trop grande épaisseur étoufferait, sous une pression bien trop forte, toute tentative d'explosion. Une éruption sursteyenne se divise en trois phases : une sous-marine, une hydromagmatique, et une aérienne. Lors de la phase sous-marine, la lave s'échappe par une fissure au fond de l'océan. Au début, la pression de l'eau empêche toute activité explosive, et le volcan sous-marin grandit, s'approchant de plus en plus de la surface. La quantité d'eau faisant pression sur le volcan diminue, et lorsque la pression de l'eau est trop faible, la lave se fragmente sous le choc thermique. On voit alors apparaître un panache au-dessus de la surface, panache composé majoritairement de vapeur d'eau mais aussi de cendres volcaniques. Le volcan continue à grandir, et peu à peu à émerger, jusqu'à ce que la cheminée volcanique débouche au-dessus du niveau de l'eau. On entre dans la phase aérienne, pendant laquelle le rôle de l'eau diminue, et l'éruption continue suivant le type de lave émis par le volcan. Un schéma de ce type d'éruption en résume les différentes phases. Ce type d'explosion a également été observé au large de Faial, dans l'archipel des Açores. C'est ainsi qu'est né le volcan de Capelinhos, à l'ouest de l'île, en 1957, soit avant l'île de Surstey. Photo : Capelinhos, sur l'île de Faial, archipel des açores
L’île apparue au large du Japon en novembre dernier nous donne l’occasion de revenir sur ce type de phénomènes, nommés éruptions surtseyennes depuis l’apparition de l’île de Surtsey, au large de l’Islande, en 1963.
Ce type d’éruption est caractéristique de l’interaction entre du magma brûlant et une grande quantité d’eau de mer ou d’un lac. Cependant pour qu’un tel phénomène puisse se produire il faut une faible profondeur d’eau, car une trop grande épaisseur étoufferait, sous une pression bien trop forte, toute tentative d’explosion. Une éruption sursteyenne se divise en trois phases : une sous-marine, une hydromagmatique, et une aérienne. Lors de la phase sous-marine, la lave s’échappe par une fissure au fond de l’océan. Au début, la pression de l’eau empêche toute activité explosive, et le volcan sous-marin grandit, s’approchant de plus en plus de la surface. La quantité d’eau faisant pression sur le volcan diminue, et lorsque la pression de l’eau est trop faible, la lave se fragmente sous le choc thermique. On voit alors apparaître un panache au-dessus de la surface, panache composé majoritairement de vapeur d’eau mais aussi de cendres volcaniques. Le volcan continue à grandir, et peu à peu à émerger, jusqu’à ce que la cheminée volcanique débouche au-dessus du niveau de l’eau. On entre dans la phase aérienne, pendant laquelle le rôle de l’eau diminue, et l’éruption continue suivant le type de lave émis par le volcan.
Un schéma de ce type d’éruption en résume les différentes phases.
Ce type d’explosion a également été observé au large de Faial, dans l’archipel des Açores. C’est ainsi qu’est né le volcan de Capelinhos, à l’ouest de l’île, en 1957, soit avant l’île de Surstey.
Photo : Capelinhos, sur l’île de Faial, archipel des açores
Il semblerait que la comète ISON n'ait pas survécu à son passage près du soleil. Elle a en effet disparu des écrans du satelitte SOHO au moment où elle s''approchait du soleil hier jeudi 28 novembre, ce qui pousse fortement à croire qu'elle s'est désagrégée. C'est en tout cas la conclusion tirée par la majorité de la communauté scientifique. Pendant ce temps, l'île volcanique découverte au sud de Tokyo le 20 novembre dernier grossit presque à vue d'oeil. D'un diamètre initial de 200 m, elle aurait aujourd'hui une forme de patate allongée, de 400m de long sur 200m de large. Les gardes-côtes japonais ont confirmé qu'il y avait désormais deux cratères, crachant à une fréquence élevée cendres et fumée. Ils ont également observé une coulée de lave lundi 25 novembre 2013, lave dont le durcissement augmente les chances de l'île de rester émergée. L'activité volcanique semble donc très intense, et il est possible qu'elle dure longtemps. Le gouvernement, prudent, préfère toutefois attendre avant de donner un nom à l'île. Photo 80 jours Voyages : comète Pastarrs observée en Islande
Il semblerait que la comète ISON n’ait pas survécu à son passage près du soleil. Elle a en effet disparu des écrans du satelitte SOHO au moment où elle s »approchait du soleil hier jeudi 28 novembre, ce qui pousse fortement à croire qu’elle s’est désagrégée. C’est en tout cas la conclusion tirée par la majorité de la communauté scientifique.
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