Nicholas B. Clinch est un alpiniste américain. Il a dirigé l’American Antarctic Mountaineering Expedition (l’expédition américaine d'alpinisme d’antarctique) de 1966 à 1967. Cette expédition a permis la première ascension du Mont Vinson d’une hauteur de 4892 m, le sommet de l'Antarctique, et d'autres hautes montagnes de la chaîne Sentinel tel que le Mont Shinn (4660 m), le Mont Gardner (4685 m), le Mont Tyree (4852 m), le Mont Ostenso (4180 m), et Les Long Gables, des pics jumeaux avec des hauteurs de 4150 m et 4110 m. L’équipe d’expédition est composé de Barry Corber, un guide professionnel qui a participé à l'expédition américaine du Mont Everest en 1963, John Evans, un conquérant d'El Capitain dans la vallée de Yosemite et d'une arête extrêmement difficile du Mont Logan, Eiichi Fukushima et Richard W.Wahlstrom, des instructeurs d'alpinisme, Charles D. Hollister et Samuel C. Silverstein M.D, des vétérans de la première ascension de l'éperon sud-est du Mont McKinley, Brian S. Marts, un jeune guide d'escalade et le Dr William E. Long, un professeur adjoint de géologie. L’expédition a permis entre autres d’apporter plusieurs kilos d'échantillons de roche, des notes du terrain auparavant méconnu et des photographies des stries glaciaires jusqu'à 30 m au-dessus du niveau actuel (1967) de la calotte glaciaire. Découvrez nos deux expéditions en Antarctique : Expedition aux iles sandwich du sud et en georgie du sud Croisieres aux orcades du sud, shetland du sud, peninsule antarctique et observation d une eclipse totale Sources : First Conquest of Antarctica’s Highest Peaks by Nicholas B. Clinch, National Geographic, Juin 1967 American Pine club
Nicholas B. Clinch est un alpiniste américain. Il a dirigé l’American Antarctic Mountaineering Expedition (l’expédition américaine d’alpinisme d’antarctique) de 1966 à 1967.
Cette expédition a permis la première ascension du Mont Vinson d’une hauteur de 4892 m, le sommet de l’Antarctique, et d’autres hautes montagnes de la chaîne Sentinel tel que le Mont Shinn (4660 m), le Mont Gardner (4685 m), le Mont Tyree (4852 m), le Mont Ostenso (4180 m), et Les Long Gables, des pics jumeaux avec des hauteurs de 4150 m et 4110 m.
L’équipe d’expédition est composé de Barry Corber, un guide professionnel qui a participé à l’expédition américaine du Mont Everest en 1963, John Evans, un conquérant d’El Capitain dans la vallée de Yosemite et d’une arête extrêmement difficile du Mont Logan, Eiichi Fukushima et Richard W.Wahlstrom, des instructeurs d’alpinisme, Charles D. Hollister et Samuel C. Silverstein M.D, des vétérans de la première ascension de l’éperon sud-est du Mont McKinley, Brian S. Marts, un jeune guide d’escalade et le Dr William E. Long, un professeur adjoint de géologie.
L’expédition a permis entre autres d’apporter plusieurs kilos d’échantillons de roche, des notes du terrain auparavant méconnu et des photographies des stries glaciaires jusqu’à 30 m au-dessus du niveau actuel (1967) de la calotte glaciaire.
Les historiens ne savent pas exactement qui a découvert le dernier continent non exploré, l’Antarctique. On attribue à Nat Palmer la découverte, juste au nord du cercle antarctique, de l'été austral de 1820-21. Mais deux marins britanniques, Edward Bransfield et William Smith, qui s'y trouvaient plus tôt en 1820, ont fait de même. Cette année-là, dans les îles Shetland du Sud, des navires américains et britanniques chassaient l'otarie à fourrure du Sud. N'importe lequel d'entre eux aurait pu voir l'Antarctique. Deux navires d'explorations russes, le Vostok et le Mirny, ont atteint ces eaux en janvier 1821, sous les ordres du capitaine Thaddeus Bellingshausen. En 1840, le Français Dumont d’Urville découvre une partie de la côte qu’il nomme Terre d’Adélie en l’honneur à sa femme, mais ce n’est qu’en 1899 que le premier hivernage est tenté par le Norvégien Carsten Borchgrevink accompagné de neuf hommes. Ernest Shackleton tente d’atteindre le pôle Sud en 1908, mais son équipe doit faire demi-tour. L’anglais Robert Falcon Scott tente également d’atteindre le pôle Sud, mais cette fois-ci, c’est la course entre lui et le Norvégien Roald Amundsen. Le Norvégien arrivera en premier, tandis que Scott ne reviendra pas de l’expédition. En 1915, Shackleton veut traverser le continent, mais son navire s’est échoué puis englouti dans la glace. Son équipe, dont la vie a été préservée se réfugie tout d’abord sur la banquise puis sur l’île de l’Eléphant. Il réussit à trouver secours en Géorgie du Sud, dans un port de pêche à la baleine en naviguant dans un canot bricolé puis en traversant cette île de montagne non cartographiée, inexplorée et réputée impossible à franchir. Découvrez nos deux expéditions en Antarctique : Expedition aux iles sandwich du sud et georgie du sud Croisières aux orcades du sud, shetland du sud, peninsule antarctique et observation d une
Les historiens ne savent pas exactement qui a découvert le dernier continent non exploré, l’Antarctique. On attribue à Nat Palmer la découverte, juste au nord du cercle antarctique, de l’été austral de 1820-21. Mais deux marins britanniques, Edward Bransfield et William Smith, qui s’y trouvaient plus tôt en 1820, ont fait de même. Cette année-là, dans les îles Shetland du Sud, des navires américains et britanniques chassaient l’otarie à fourrure du Sud. N’importe lequel d’entre eux aurait pu voir l’Antarctique. Deux navires d’explorations russes, le Vostok et le Mirny, ont atteint ces eaux en janvier 1821, sous les ordres du capitaine Thaddeus Bellingshausen.
En 1840, le Français Dumont d’Urville découvre une partie de la côte qu’il nomme Terre d’Adélie en l’honneur à sa femme, mais ce n’est qu’en 1899 que le premier hivernage est tenté par le Norvégien Carsten Borchgrevink accompagné de neuf hommes. Ernest Shackleton tente d’atteindre le pôle Sud en 1908, mais son équipe doit faire demi-tour. L’anglais Robert Falcon Scott tente également d’atteindre le pôle Sud, mais cette fois-ci, c’est la course entre lui et le Norvégien Roald Amundsen. Le Norvégien arrivera en premier, tandis que Scott ne reviendra pas de l’expédition. En 1915, Shackleton veut traverser le continent, mais son navire s’est échoué puis englouti dans la glace. Son équipe, dont la vie a été préservée se réfugie tout d’abord sur la banquise puis sur l’île de l’Eléphant. Il réussit à trouver secours en Géorgie du Sud, dans un port de pêche à la baleine en naviguant dans un canot bricolé puis en traversant cette île de montagne non cartographiée, inexplorée et réputée impossible à franchir.
L’iceberg A-68A, d’une taille plus grande que la superficie du Luxembourg, 4.200 kilomètres carrés, est actuellement le plus grand iceberg au monde. Il s’est détaché de la barrière de Larsen dans l’ouest de l’Antarctique en 2017. Il est aujourd’hui à moins de 200 km de l’île de Géorgie du Sud selon les observations du satellite Copernicus. 80 Jours Voyages prévoit une expédition en Géorgie du Sud en 2022. Si le géant de glace entrait en collision avec les fonds marins de l’île, la modification de l’environnement pourrait menacer les populations de manchots et de phoques qui vivent là-bas. L’iceberg empêcherait les animaux de se rendre sur leur terrain de chasse et de rentrer à temps pour nourrir leur progéniture. De plus, les animaux vivants au fond de la mer seront écrasés à l'endroit de l'impact de l'iceberg, à 200 mètres de profondeur. Les écosystèmes pourraient être perturbés pendant plus de 10 ans. Cela c’était déjà produit en 2004 sur l’île. La population de manchot avait en effet déclin suite à un iceberg échoué. Le crash pourrait toutefois avoir quelques conséquences positives en relâchant d'énormes quantités de nutriments emmagasinés dans la glace qui viendraient alimenter le phytoplancton, procurant ainsi de la nourriture à toute la chaîne alimentaire. Il est aussi possible que l'iceberg, entraîné par des courants, évite finalement la Géorgie du Sud l’entraînant dans des eaux plus chaudes. Si l'iceberg s'accrochait sur les fond marins de la Géorgie du Sud, bien que ce soit regrettable pour les écosystèmes de la région, ce serait une immense opportunité pour les membres de l'expédition que 80 Jours Voyages organise sur les lieux en février-mars 2022 avant de rejoindre les Sandwich du Sud. Une opportunité unique d'aller observer le plus grand iceberg du monde. De l’aide a été demandée à l’Agence spatiale européenne (ESA) afin d’améliorer
L’iceberg A-68A, d’une taille plus grande que la superficie du Luxembourg, 4.200 kilomètres carrés, est actuellement le plus grand iceberg au monde. Il s’est détaché de la barrière de Larsen dans l’ouest de l’Antarctique en 2017. Il est aujourd’hui à moins de 200 km de l’île de Géorgie du Sud selon les observations du satellite Copernicus. 80 Jours Voyages prévoit une expédition en Géorgie du Sud en 2022.
Si le géant de glace entrait en collision avec les fonds marins de l’île, la modification de l’environnement pourrait menacer les populations de manchots et de phoques qui vivent là-bas. L’iceberg empêcherait les animaux de se rendre sur leur terrain de chasse et de rentrer à temps pour nourrir leur progéniture. De plus, les animaux vivants au fond de la mer seront écrasés à l’endroit de l’impact de l’iceberg, à 200 mètres de profondeur. Les écosystèmes pourraient être perturbés pendant plus de 10 ans. Cela c’était déjà produit en 2004 sur l’île. La population de manchot avait en effet déclin suite à un iceberg échoué.
Le crash pourrait toutefois avoir quelques conséquences positives en relâchant d’énormes quantités de nutriments emmagasinés dans la glace qui viendraient alimenter le phytoplancton, procurant ainsi de la nourriture à toute la chaîne alimentaire.
Il est aussi possible que l’iceberg, entraîné par des courants, évite finalement la Géorgie du Sud l’entraînant dans des eaux plus chaudes.
Si l’iceberg s’accrochait sur les fond marins de la Géorgie du Sud, bien que ce soit regrettable pour les écosystèmes de la région, ce serait une immense opportunité pour les membres de l’expédition que 80 Jours Voyages organise sur les lieux en février-mars 2022 avant de rejoindre les Sandwich du Sud. Une opportunité unique d’aller observer le plus grand iceberg du monde.
De l’aide a été demandée à l’Agence spatiale européenne (ESA) afin d’améliorer la précision des images satellites et donc des prévisions.
La Commission pour la conservation de la faune et de la flore marines de l'Antarctique se réunit cette semaine à Hobbart, en Tazmanie, avec pour mission de décider la création d'aires protégées sur le continent blanc. Après plusieurs propositions, l'une faite conjointement par l'Australie et l'Union Européenne, l'autre par la Nouvelle-Zélande et les Etats-Unis, c'est aujourd'hui l'Australie seule qui espère voir son projet validé. La Commission (CCAMLR) regroupe 24 pays de l'Union Européenne et gère les ressources marines de la zone depuis 1982. Le premier projet prévoyait la création de 7 aires marines protégées sur la façade est de l'Antarctique, d'une surface de 1,9 million de km2. Le suivant proposait de sanctuariser une zone plus petite, de 1,25 million de km2, sur la côte pacifique, en mer de Ross. C'est désormais une surface d'un million de km2 que l'Australie espère réussir à protéger, répartie sur 4 zones. Les débats ont lieu du 20 au 24 octobre. Une pétition a été mise en ligne pour soutenir ce projet. Découvrez nos séjours en Antarctique.
La Commission pour la conservation de la faune et de la flore marines de l’Antarctique se réunit cette semaine à Hobbart, en Tazmanie, avec pour mission de décider la création d’aires protégées sur le continent blanc. Après plusieurs propositions, l’une faite conjointement par l’Australie et l’Union Européenne, l’autre par la Nouvelle-Zélande et les Etats-Unis, c’est aujourd’hui l’Australie seule qui espère voir son projet validé.
On ne compte plus les articles et études qui paraissent sur la fonte des glaces, toutes plus catastrophiques les unes que les autres. C'est le journal Sciences et Avenir que relaie la dernière étude menée par des chercheurs allemands. Ceux-ci ont mesuré la quantité de glace fondue aux deux pôles, sur une période de 3 ans (2011-2014), en utilisant les données collectées par le satellite d'observation Cryosat-2. Les résultats font apparaître un accroissement de la vitesse de la fonte des glaces, aussi bien au Groenland qu'au pôle sud : au nord, la glace disparaît 2,5 fois plus vite qu'entre 2003 et 2009 tandis qu'au sud, elle fond 3 fois plus rapidement, et ce malgré l'accroissement de la couche de glace dans l'est du continent, dans la région de Dronning Maud. Retrouvez tous nos voyages polaires.
On ne compte plus les articles et études qui paraissent sur la fonte des glaces, toutes plus catastrophiques les unes que les autres. C’est le journal Sciences et Avenir que relaie la dernière étude menée par des chercheurs allemands.
C'est sur le blog de Claude Granpey que l'on peut lire un article expliquant qu'en plus du réchauffement climatique, les glaciers de l'ouest Antarctique sont victimes de volcans sous-glaciaires et de points chauds géothermiques. Les parties du glacier Thwaites situées près de zones géologiques d'origine volcanique fondent plus vite que les régions éloignées des points chauds. La présence de volcans en Antarctique est une donnée déjà connue des chercheurs ; le continent est une région sismiquement active, dont l'est et l'ouest se séparent. Ce qui reste aujourd'hui très difficile à prévoir, c'est la vitesse de la fonte des glaces : entre le réchauffement climatique et la présence de points chauds qui font fondre certains endroits de la calotte plus vite que d'autres, la tâche est particulièrement ardue. La fonte de la glace en Antarctique ayant comme conséquence directe l'élévation du niveau de la mer, les chercheurs associent différents moyens techniques pour essayer de comprendre la dynamique géothermique et tenter de déterminer la part de responsabilité de ses volcans dans la fonte globale des glaciers. Découvrez nos voyages en Antarctique
C’est sur le blog de Claude Granpey que l’on peut lire un article expliquant qu’en plus du réchauffement climatique, les glaciers de l’ouest Antarctique sont victimes de volcans sous-glaciaires et de points chauds géothermiques. Les parties du glacier Thwaites situées près de zones géologiques d’origine volcanique fondent plus vite que les régions éloignées des points chauds.
L'ours polaire, animal mythique, superbe et majestueux, inspire tout à la fois respect et admiration. Ces dernières années, on parle beaucoup des conséquences du réchauffement climatique sur son habitat et ses difficultés grandissantes à trouver de la nourriture. D'ailleurs, de quoi se nourrit un ours polaire ? Voici une vidéo de quelques minutes qui répond à cette question. Découvrez nos voyages au plus près du cercle polaire : kayak et kayak en Norvège, sur les traces de l'ours au Groenland…
L’ours polaire, animal mythique, superbe et majestueux, inspire tout à la fois respect et admiration. Ces dernières années, on parle beaucoup des conséquences du réchauffement climatique sur son habitat et ses difficultés grandissantes à trouver de la nourriture. D’ailleurs, de quoi se nourrit un ours polaire ? Voici une vidéo de quelques minutes qui répond à cette question.
Relayée par Sciences et Avenir, l'information a d'abord été rapportée par le journal American Society for Microbiology : une forme inédite de grippe aviaire a été détectée chez les manchots de l'Antarctique. Le virus, nommé H11N2, a été identifié après séquençage complet et de nombreuses analyses moléculaires. Les chercheurs avaient auparavant déjà remarqué la présence d'anticorps anti-grippaux dans le sang des manchots, mais n'avaient jusqu'à présent pas réussi à isoler le virus. Les recherches menées par l'équipe de Aeron Hurt, scientifique à l'Influenza Collaborating Center de l'OMS à Melbourne, ont permis d'identifier 8 individus porteurs du même virus H11N2. Quatre exemplaires de ce virus ont ensuite été mis en culture et analysés, et une conclusion s'impose : cette souche n'avait encore jamais été identifiée et ne ressemble à aucune des deux lignées connues parmi les souches de grippes aviaires. La principale question qui se pose par rapport à ce nouveau virus est celle de la transmission ; les deux lignées connues actuellement sont eurasiennes et nord-américaines, loin de l'Antarctique. Une des hypothèses de l'équipe de Hurt est que la propagation de ce virus aux manchots de l'hémisphère sud est due aux oiseaux migrateurs comme les skuas ou les pétrels. Apparemment non mortel, il semble en plus que le virus ne soit pas transmissible aux mammifères : les scientifiques n'ont en effet pas réussi à contaminer les furets, animaux couramment utilisés dans les recherches sur la grippe. La découverte de ce virus laisse toutefois un grand nombre de questions sans réponses. Découvrez nos voyages en Antarctique, partez observer les manchots empereurs et fouler le pôle sud !
Relayée par Sciences et Avenir, l’information a d’abord été rapportée par le journal American Society for Microbiology : une forme inédite de grippe aviaire a été détectée chez les manchots de l’Antarctique. Le virus, nommé H11N2, a été identifié après séquençage complet et de nombreuses analyses moléculaires. Les chercheurs avaient auparavant déjà remarqué la présence d’anticorps anti-grippaux dans le sang des manchots, mais n’avaient jusqu’à présent pas réussi à isoler le virus.
La décision de la Cour Internationale de Justice a été prise lundi 31 mars : le Japon doit cesser toute activité de chasse à la baleine en Antarctique. Bien que déçu, le gouvernement japonais a déclaré qu'il respecterait cette injonction. C'est l'Australie qui avait saisi la justice en 2010, arguant que le Japon pratiquait la chasse à la baleine dans un but commercial et non scientifique. Le programme scientifique japonais JARPA II manque de transparence dans l'établissement de quotas non raisonnables, et le nombre restreint de publication scientifiques est vivement critiqué par la Cour de Justice. L'Australie accuse le Japon d'avoir tué plus de 10 000 baleines entre 1987 et 2009, en majorité des petits rorquals. Pour les protecteurs des animaux, il fat désormais s'attaquer à la chasse à la baleine que les japonais pratiquent dans le Pacifique Nord. Les militants de Sea Sheperd, qui cumulent les actions contre les navires de pêche japonais, précisent que le combat continue. Il suffit que le Japon présente un programme scientifique plus argumenté pour se voir à nouveau autorisé à pratiquer la chasse. Pour l'association écologiste, d'autres combats restent encore à mener, contre la chasse au requin par exemple, mais aussi contre la Norvège et l'Islande, seuls pays aujourd'hui à pratiquer la chasse à la baleine à des fins commerciales. Découvrez nos voyages d'observation des cétacés aux Açores et nos voyages en Antarctique Découvrez le blog de JM Bardintzeff
La décision de la Cour Internationale de Justice a été prise lundi 31 mars : le Japon doit cesser toute activité de chasse à la baleine en Antarctique. Bien que déçu, le gouvernement japonais a déclaré qu’il respecterait cette injonction. C’est l’Australie qui avait saisi la justice en 2010, arguant que le Japon pratiquait la chasse à la baleine dans un but commercial et non scientifique. Le programme scientifique japonais JARPA II manque de transparence dans l’établissement de quotas non raisonnables, et le nombre restreint de publication scientifiques est vivement critiqué par la Cour de Justice. L’Australie accuse le Japon d’avoir tué plus de 10 000 baleines entre 1987 et 2009, en majorité des petits rorquals.
L'information vient du journal Le Monde : un iceberg de la taille de Manhattan dérive actuellement en Antarctique, surveillé de près par les équipes de chercheurs. Cet énorme bloc de glace pourrait devenir problématique pour la navigation, et sa fonte pourrait altérer la densité et la vitesse des courants côtiers. Même si cet iceberg n'est pas assez grand pour créer un impact décisif sur l'environnement, la multiplication de ce genre de phénomènes pourrait, elle, avoir des conséquences bien plus importantes et non négligeables. Toujours d'après Le Monde, l'iceberg se serait détaché début juillet du glacier de Pine Island, dans l'ouest de l'Antarctique. Mais il ne dérive que depuis une ou deux semaines dans l'Atlantique, depuis le début du printemps austral. Si vous rêvez de découvrir le continent blanc, le pôle Sud et les manchots empereurs, découvrez nos voyages accompagnés en Antarctique !
L’information vient du journal Le Monde : un iceberg de la taille de Manhattan dérive actuellement en Antarctique, surveillé de près par les équipes de chercheurs. Cet énorme bloc de glace pourrait devenir problématique pour la navigation, et sa fonte pourrait altérer la densité et la vitesse des courants côtiers. Même si cet iceberg n’est pas assez grand pour créer un impact décisif sur l’environnement, la multiplication de ce genre de phénomènes pourrait, elle, avoir des conséquences bien plus importantes et non négligeables.
Toujours d’après Le Monde, l’iceberg se serait détaché début juillet du glacier de Pine Island, dans l’ouest de l’Antarctique. Mais il ne dérive que depuis une ou deux semaines dans l’Atlantique, depuis le début du printemps austral.
Si vous rêvez de découvrir le continent blanc, le pôle Sud et les manchots empereurs, découvrez nos voyages accompagnés en Antarctique !
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