En mars dernier, suite à la décision de la Cour Internationale de Justice à Tokyo, le Japon avait déclaré accepter d’interrompre sa campagne de chasse à la baleine en Antarctique. La CIJ de La Haye avait en effet estimé que le pays déguisait une chasse commerciale en campagne d’études scientifique et donc demandé au gouvernement japonais de cesser cette activité.

La décision de la Cour Internationale de Justice a été prise lundi 31 mars : le Japon doit cesser toute activité de chasse à la baleine en Antarctique. Bien que déçu, le gouvernement japonais a déclaré qu’il respecterait cette injonction. C’est l’Australie qui avait saisi la justice en 2010, arguant que le Japon pratiquait la chasse à la baleine dans un but commercial et non scientifique. Le programme scientifique japonais JARPA II manque de transparence dans l’établissement de quotas non raisonnables, et le nombre restreint de publication scientifiques est vivement critiqué par la Cour de Justice. L’Australie accuse le Japon d’avoir tué plus de 10 000 baleines entre 1987 et 2009, en majorité des petits rorquals.

Situé au nord de la Norvège, le Spitzberg est une île faisant partie de l’archipel du Svalbard. C’est une des deux seules îles habitées de cet archipel découvert en 1596 par l’explorateur néerlandais Willem Barentsz. Avec ses montagnes escarpées et ses glaciers, le Spitzberg offre de somptueux paysages et une nature encore vierge. Ours blancs, renard polaires et autres rennes peuplent cette terre, tandis que les eaux accueillent morses, phoques, baleines et autres mammifères marins.

C’est un fait rarissime, deux baleines grises siamoises ont été découvertes par des pêcheurs sur la côte pacifique du Mexique. Mesurant environ 4 mètres de long, avec deux têtes distinctes mais un seul corps, les baleineaux n’ont apparemment survécu que quelques heures.