Retournement cette semaine dans l’affaire du séimse de l’Aquila, en Italie. Le 6 avril 2009, suite au tremblement de terre qui avait fait plus de 300 victimes, sept scientifiques italiens avaient été condamnés en première instance à 6 ans de prison pour avoir sous-estimé les risques. Ils s’étaient en effet réunis à l’Aquila six jours avant l’événement, mais n’avaient pas alerté la population sur l’ampleur des risques.